Une ère s’achève et une autre s’amorce qui va bouleverser bien des habitudes et surtout transformer tout pouvoirs qu’il soit politique ou religieux. Même si les grandes écoles sont des lieux de conditionnement où l’on apprend dévotement à être le serviteur du système établit. Le but de tout cela est de pérenniser les idéologies (quitte a publier des décrets antidémocratiques comme garde-fou) pour que continuent à régner les vizirs et les califes qu’ils soient ministres ou présidents.
Ceci étant dit sans visées séditieuses (je suis apolitique) puisque c’est le fruit d’une simple observation à la portée de tous.
Cette première manifestation d’un scrutin passe pratiquement inaperçue et pourtant, même si elle n’est pas encore au point (dit-on), elle est le germe d’une future manière de s’exprimer : c’est celle d’avoir autorisé le vote par internet des ressortissants français vivant à l’étranger. Les autorités ont mis en place cette manière de procéder par obligation et donc avec beaucoup de réticence (d’où des retards d’application sous « prétextes » de problèmes techniques) car elle favorise trop l’expression du peuple sur n’importe quel sujet.
En d’autres termes avec le vote informatique les référendums peuvent êtres multiples sur divers sujets, ce qui ne manqueraient pas d’amoindrir une autorité trop souvent antidémocratique qui caractérise nos hommes politique ; puisque les électeurs signent un chèque en blanc à leurs élus dont ils profitent sans vergogne en prenant des décisions en fonction de leur propre vérité et non de celles et de ceux qui les ont élu sur un critère indéfini de promesses électorales généralement non tenues puisque assujettis aux mots d’ordre d’un parti politique lesquels s’inclinent devant leur leader.
Tout cela rend un vote, quel qu’il soit, insensé sauf sur la plan numérique car il peut être fréquent de placer le société au cœur de nombreuse décisions étatiques.
Avant l’ère d’internet le bulletin de vote dans un isoloir était la seule solution, la moins « guignolesque » pourrait-on dire, sauf que les rideaux de l’isoloir et le rideau de guignol… sont les même !
Actuellement c’est un nouveaux procédé qui s’impose avec une mutation qui change notre fausse démocratie en une véritable. Que les citoyens se rassure il y aura toujours des « imperfections techniques » pour retarder indéfiniment ce genre de scrutin.
Donc, de ce nouveau moyen d’expression vous n’en entendrez pas parler avant longtemps puisque les politiques marqueraient un but contre leur camp !
Mais l’utilisation d’internet par d’autre pays comme la Suisse, obligeras tôt ou tard nos dirigeants à adopter, bon grés mal grés, ce genre de scrutin.
Avec toute mon amitié.