La rédaction ça fait pro ! Ma gazette est à publications incertaines comme d’autre sont mensuelles.
Bref, c’est le tralala lié à mes pérégrinations à travers l’Atlantique pour rejoindre Fort de France. Me voilà donc chère lectrice et cher lecteurs (suis sérieux car c’est l’éditorial !) après moult semaines à me bronzer à votre chaud soleil hivernal. Où là là ! Certains diront que je manie l’oxymore comme un journaliste distingué. D’autres dirons que j’en fais trop et ils auront raison.
Pendant mon séjour merveilleux à la Martinique, dans ce coin de paradis j’ai visité le jardin de Rosine ou j’ai vu des orchidées qui poussent hors de la terre en un acte libérateur de leur condition de « légume ». Des êtres préparant un monde animal de demain ? Pourquoi pas ! Aussi, et vous vous en doutez, leur fleurs sont magnifiques comme pour asseoir leur supériorité.
Les aristos du jardin de Rosine.
Je ne vous cacherais pas que Rosine les bichonne ses orchidée. Elle en a de plusieurs couleurs, de plusieurs grandeurs, de celle qui aime la terre et de celle qui ne l’aime pas.
Orchidée à longue tige gardienne de la porte du jardin de Rosine
Dans le jardin de Rosine on trouve d’autres fleurs, en voici des exemples qui poussent spontanément quand les oiseaux sèment leurs graines.
Les prolos sans pédigrée du jardin de Rosine
Le fruit de l’arbre à pain.
L’incontournable cocotier.
Parfois on a des surprises en découvrant que les lézards aiment les fleurs. En voici la preuve indiscutable :
Ça c’est le chien féroce de la maison. Quand vous vous approchez il devient dangereux, regardez
Pour vous en sortit vivant une seule issue, lui chatouiller le ventre !
Voilà, vous avez une petite idée du beau jardin de Rosine. Rosine et Pascal sont aux petits soins de leur jardin et en plus au fond, côtoyant la mangrove, il y a une biquette et des cocottes qui soignent leur coq, que voulez vous, c’est ça l’éternel féminin.
A bientôt.