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26 avril 2008 6 26 /04 /avril /2008 17:48

 

Ce texte est la suite de « Tétrakty de Pytagore, biogénèse et alchimie 1 et 2 ».

Voici une gravure alchimique du Viridarium chimicum ou Jardin chymique de D : Stolcius, à Francfort en 1624.

Ce dessin très connu dans le milieu alchimique représente le Rebis, ou androgyne (homme et femme) comme on peut le lire sur le vêtement de cet être particulier. Il symbolise le double principe qui va donner naissance à la pierre philosophale. Dès sa conception cette jeune pierre appelée parfois soufre philosophique va prendre, en l’air, la forme sphérique imposée par le mercure. Telle est la raison pour laquelle elle est pourvue de deux ailes. La table d’émeraude traduit la même chose en disant que : « Le vent la porté dans son ventre. »

 



PAS D'IMAGE POUR L'INSTANT... DESOLE

 

L’origine de cette boule est expliquée par les dessins géométriques qu’elle contient.

Nous avons un point central, une croix, un triangle et un carré. Les chiffres ne sont pas tous visibles notamment le 1 et le 2 qui disparaissent sous la mauvaise qualité de la reproduction. Quant au 3 et au 4 ils sont parfaitement visibles dans la partie gauche supérieure de la sphère.

C’est une Tétrakty traduite géométriquement. Le 1 correspond au point central, mis en évidence, le deux se s’exprime par les deux traits (un vertical, l’autre horizontal) formant la croix. Le trois est un triangle et le quatre un carré.

Cette tétraktys est là pour être interprétée alchimiquement.

Le un ou point central est le minerai unique concassé finement dès le début du travail. Le deux indique que ce minerai est composé de deux substances. C’est la raison pour laquelle il est parfois représenté par le dieu Janus. Le trois indique la présence d’un élément nouveau permettant d’obtenir la triade sel, soufre et mercure, laquelle pourra devenir pierre par l’action ininterrompue des quatre éléments traduits par le carré. Cette boule aérienne à la particularité d’exprimer la genèse, d’où le terme de mondification.

C’est le feu du dragon mâle ou soufre qui va permettre l’ascension de la pierre et la transformation du rebis. Ainsi le monde ira se placer dans le cortège des sept planètes selon les mesures naturelles représentées par l’équerre et le compas. C’est de cette manière que grandira l’œuf philosophal, dont la forme entoure la gravure et lui sert de cadre.

 

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26 avril 2008 6 26 /04 /avril /2008 06:26

 

Ce texte est la suite de « Tétrakty de Pytagore, biogénèse et alchimie 1 ».

 

Dans le premier article sur la Tétraktys, j’ai signalé que les pythagoriciens prêtaient serment « par la sainte Tétrakty ». Ce qui est moins connu c’est une autre formule de serment, curieusement redondante, qui était : « Par le carré de quatre. » Qui peut donc se formuler : « Par le quatre de quatre. », Ce qui est une manière particulière de parler de 16.

Entre ces deux formules, le rapport est évident, car le nombre quatre est leur dénominateur commun. On peut déduire de ce quatre fondamental son rapport avec la vie reposant sur le carbone à quatre valences (tétravalent), [voir l’article précédent. ]

Évidemment le quatre est en rapport étroit avec les quatre éléments des alchimistes, qui désignent sans ambiguïté le sel qui a cette propriété de posséder en lui les quatre éléments ayant une action féconde sur la matière par son application permanente et équilibrée sous forme de feu de roue.

Si vous relisez l’article « Alchimie et manifestations paranormales. » Vous vous souviendrez que la réalité émerge (sous forme d’hétérogénéité) de deux milieux homogènes qui sont l’eau et l’air. En d’autres termes, l’élément feu se manifestera dans l’air, d’où le mythe de Prométhée qui déroba le feu du ciel, et l’élément Terre qui surgira de l’eau telle une ile que sera le centre du monde avec son omphalos ou nombril. De là l’appellation de terre Sainte, incontestable réalité, issue de l’hétérogénéité de l’eau. Le feu des alchimistes n’est donc pas celui du fourneau, mais celui issu de l’hétérogénéité de l’air. Il aura de ce fait une puissante capacité créatrice tout an ayant la particularité de provoquer des augmentations de température. C’est la raison pour laquelle le feu du ciel est cabalistiquement le feu du sel.

Le carré de quatre, sous forme de nombre figuré carré, contient 16 points correspondant aux 16 cases du carré magique de Jupiter selon Paracelse.

 

ÅÅÅÅ

ÅÅÅÅ

ÅÅÅÅ

ÅÅÅÅ

 

Le carré de quatre points de côté, correspondant au 4 basal de la tétraktys, prend ici une dimension universelle, car la somme des points périphérique est de 12, nombre de signes du zodiaque. De cette constatation est probablement issue la forme carrée des anciennes cartes du ciel des astrologues.

(Attention cet article est protégé car extrait d’un de mes livres)

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25 avril 2008 5 25 /04 /avril /2008 15:48

La tétraktys de Pythagore est un nombre représenté par 10 chiffres disposés en triangle. C’est la raison pour laquelle on l’appelle nombre figuré triangulaire. La formule numérique s’écrit : 1 + 2 + 3 + 4 = 10. La disposition figurée est la suivante :

Å

Å  Å

Å  Å  Å

Å  Å  Å  Å

 

À l’époque de Pythagore chaque point noir était un petit caillou disposé sur le sol, d’où est venu le nom de calcul désignant aussi bien le jeu de nombre que les petits « cailloux » se formant dans certains organes comme la vésicule biliaire ou les reins.

Cette figure était sacrée pour les pythagoriciens, à tel point qu’ils prêtaient serment « par la sainte Tétraktys », ce qui ne saurait être pris à la légère quand on sait que certains êtres savent aller au-delà du temps.

Une expérience va dans ce sens. En 1950, le jeune biologiste Stanley L. Miller, âgé de 25 ans, encore étudiant à l’Université de Chicago, fut à l’origine d’un véritable tournant dans l’approche expérimentale de la vie. Il simula dans un ballon l’atmosphère primitive de la terre (mélange de méthane, d’ammoniac et de vapeur d’eau) et la bombarda par des décharges électriques, de 60 000 volts, figurant les éclairs des violents orages des premiers temps. Après une semaine, le jeune scientifique découvre qu’il a synthétisé de nombreux composés organiques, notamment, des acides aminés, à partir desquels s’élaborent les protéines, matériau fondamental de la matière vivante. Le résultat repose sur l’interaction de trois molécules : l’eau (H2O), l’ammoniac (NH3), et le méthane (CH4). Ces trois molécules sont formées avec QUATRES atomes : L’hydrogène (H), l’oxygène (O), l’azote (N) et le carbone (C). Chacun de ces atomes possède un pouvoir de combinaison avec d’autres atomes appelé valence, qui fixe le nombre des autres atomes avec lesquels un corps peut se combiner (s’accrocher). Pour simplifier, j’appellerais la valence un crochet avec lequel elle va pouvoir s’accrocher à un atome.

Ainsi l’hydrogène (H) possède un crochet, l’oxygène (O) est pouvu de deux crochets, l’azote (N) de trois et le carbonne (C) de 4.

 

Å-------------H

Å  Å-------------O

Å  Å  Å-------------N

Å  Å  Å  Å-------------C

 

Ainsi aux nombres de la tétraktys correspondent les atomes à l’origine de la vie dont le fondement est le carbone (C).

Or, en alchimie (science traditionnelle de la vie) la valeur dix représente les capacités multiplicatrices de la pierre.

Vous pouvez penser qu’il s’agit du hasard, dans ce cas je vous souhaite bon vent !

 

(Attention cet article est protégé car extrait d’un de mes livres)

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24 avril 2008 4 24 /04 /avril /2008 18:03

 

 

Depuis 1968, date à laquelle l’Église Catholique romaine appliqua les directives du concile Vatican II, d’immenses et superbes cathédrales de la connaissance se sont effondrées pour laisser la place à des mobil home, à une Église moderniste coupée de ses racines et donc vidée de ses rapports avec l’absolu et coupée de sa substance mystique.

Que l’on ne me fasse pas dire ce que je n’ai pas dit, je ne suis pas traditionaliste. Je cherche seulement à retrouver l’esprit de ceux qui élaborèrent la chrétienté, sans m’attacher à la lettre. Je suis en total accord avec l’adage : « La lettre tue et l’esprit vivifie. » Loin de moi une démarche plus ou moins folklorique en un domaine aussi sublime qui permet à l’être de grandir au-delà de toute espérance.

Gérard de Sède, dans son livre Les templiers sont parmi nous, qui fut un best seller au début des années soixante, parles du trésor des Templiers qui aurait été trouvé à Gisor par Roger Lhomoy. L’auteur qui n’allait pas tarder à écrire un autre best seller en révélant l’histoire du curé richissime de Renne le Château, nous dit dès le premier chapitre, que cet homme avait reçu les ordres mineurs et donc était exorciste :

 

« Et à ma profonde stupéfaction il se mit à réciter en latin la formule de l’exorcisme.

      Ou diable, Roger, avez-vous été chercher ça ?

      C’est bien simple, répondit-il calmement. Vous me voyez aujourd’hui porcher, mais jadis j’ai été ecclésiastique. J’ai même reçu les ordres mineurs et l’un de ceux-ci, vous ne l’ignorez pas, est celui d’exorciste. »

 

Dans l’Église de cette époque, et cela depuis plus de mille cinq cents ans, il existait sept ordinations, dont quatre ordres mineurs (Portier, Lecteur, Exorciste et Acolyte) et trois dits ordres majeurs : Sous Diacre, Diacre et Prêtre. L’épiscopat (évêque) n’est pas considéré comme un Ordre, mais c’est une consécration, car l’évêque a la plénitude du sacerdoce que le prêtre a seulement en partie. Un évêque peut ordonner, un prêtre ne le peut pas. Son ordination ne le lui permet pas. Un évêque peut bénir un cimetière, un prêtre ne le peut pas, un évêque peut consacrer un autel, un prêtre ne le peut pas…

Donc, je vais parler du premier ordre mineur, celui de Portier qui s’appelle aussi Ostiariat.

N. B. avant de poursuivre je voudrais dire à ceux qui disent ue la Cléricature est le premier Ordre mineur et que donc je l’ai oublié, que ce n’est pas une erreur, puisque la Cléricature est une adoption et non un Ordre qui peut être dispensé par un prêtre.

Le Portier est un Ordre qui existe depuis les premiers siècles soit environ depuis mille huit cents ans.

Janus était le dieu des portes, l’un des plus anciens de la mythologie gréco-Romaine. C’est la raison pour laquelle on le trouve représenté sur la couverture des rituels (extraits du Pontifical) réservés aux Portiers. C’est un dieu à double visage opposé, l’un regardant devant lui, l’autre derrière. L’un se tourne donc vers le passé, l’autre vers l’avenir.

Janus a donné son nom à notre mois de janvier (Januarius en latin) Il possédait les deux clés, d’argent et d’or. Les fêtes de Janus se célébraient aux deux solstices. Dans le sanctoral de l’Églises ces deux fêtes correspondent aux deux saint Jean, l’évangéliste et le baptiste.

Ces quelques explications suffisent pour comprendre la raison pour laquelle, lors de son Ordination le Portier reçoit les clés de l’Église. Mais l’ouverture des portes lui donne aussi la charge de porte livre. Il maintient donc le livre de l’officiant ouvert lors des cérémonies.

Sur le plan de la réalisation de soi, il doit pratiquer l’ouverture de son esprit et de sa sensibilité.

Sur le plan alchimique il prépare la matière, ou clé, capable d’ouvrir son minerai à double complexion correspondant à Janus bifront.

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23 avril 2008 3 23 /04 /avril /2008 11:22

 

 

Il n’entre pas dans mon propos de dire si les saints étaient ou non des alchimistes. Pour être bref je dirais que certains l’étaient et d’autres pas. Mon propos n’est pas non plus d’exposer les rouages « secrets » des saints non-alchimistes. J’aurais l’occasion de revenir sur ce sujet, mais le chapitre suivant traite le fond de la question.

Il est un fait difficilement contestable qui malheureusement échappe aux ecclésiastiques actuels et à la majorité des universitaires : À travers les légendes, il est possible de se rendre compte que les hommes du moyen age, de la renaissance et des temps modernes jusqu’à la fin du XIXe siècle étaient conditionnés par l’alchimie et, par conséquent, pensaient, voyaient, rêvaient le monde qui les entouraient en alchimistes.

Dans cette optique l’alchimie prend une valeur d’archétype fondamental qui interpella non seulement le psychanalyste C. G. Jung, mais aussi une pléiade d’universitaires tels Gilbert Durand, Henry Corbin, Mircea Eliade, Antoine Faivre et le physicien et philosophe Stéphane Lupasco.

La légende des saints est donc un véritable véhicule culturel que seuls les alchimistes actuels peuvent convenablement interpréter. Je ne parle pas des spéculateurs experts en alchimie, mais de réels praticiens qui oeuvrent à l’oratoire et au laboratoire avec la verrerie et un minerai précis sans oublier les cristaux essentiels de cette base forte qu’est le « sel ».

En ce court article je n’ai pas l’intention d’étudier la vie de tous les saint, mais je ne saurait trop vous conseiller d’acquérie La légende dorée de Jacques de Voragine qui est un merveilleux recueil des phénomènes extraordinaires liée à la vie des saints.

Pour satisfaire autant les fervents d’alchimie que ceux qui traquent le mystérieux trésor de Rennes le Château, j’ai choisi une sainte connu de tous et évacué du calendrier par les modernistes du Vatican. Je vais parler de St Barbe, dont j’ai déjà abondamment parlé dans mon livre sorti en 2007 : Hermestine, Rennes le château.(En vente chez moi)

Après cette pub qui me fait rougir, mais impossible à éviter car le couloir de mon appart est encombré de cartons de livres qui m’ont coûté bonbon… fermons la parenthèse et revenons à nous moutons. Le culte de cette sainte fit des progrès rapides à partir du IXe siècle où l’alchimie était une pratique courante. En Occident, il s’implanta essentiellement en Belgique (déjà en possession des reliques de St Hermes), dans les Pays-Bas, dans le France du Nord et de l’Est.

Cette sainte était la fille du gouverneur (satrape) Dioscure. Pour la soustraire au prosélytisme chrétien, son père la fit enfermer dans une tour qui n’était éclairée que par deux fenêtres. Pour manifester sa foi en la St Trinité, elle perça elle-même dans les murs de sa prison une troisième fenêtre. Convertie au christianisme, elle tenta de s’enfuir pour échapper à la colère de son père. Elle se réfugia dans le creux d’un rocher, qui miraculeusement s’entrouvrit pour lui donner asile. Jetée en prison, elle subira le martyr. On labourera son corps avec des peignes de fer et des torches allumées furent enfoncées dans ses côtes. (Les Nouvelles fleurs de la vie des saint, par un solitaire, tome II, Lyon 1760) En colère, son père la frappa de son épée. Il fut immédiatement foudroyé.

Ste Barbe est la patronne de tous ceux qui touchent au feu et en particulier des mineurs qui travaillent sous terre, des artilleurs et surtout des alchimistes qui sont appelés philosophes par le feu. On la représente souvent avec une tour allumée qui n’est autre que l’athanor des alchimistes.

Dans le midi de la France, elle est peu présente. Aussi, la chapelle du château des Périllos dédicacée à St Barbe confirme l’activité alchimique du seigneur immensément riche et ses activités dans un pays minier, dont les prêtres du Razès (Boudet, Gellis et Saunière) auraient découvert l’immense dépôt. Ainsi s’explique l’ex libris, en forme de sceau de Salomon du richissime curé de Rennes le château, qui fut extrait d’un ancien livre d’alchimie.

Non, l’histoire de Rennes le Château n’est pas banale, car un alchimiste ne transmute jamais de grande quantité de métal précieux. S’IL LAISSE DERRIERE LUI UN DÉPÔT D’OR, C’EST POUR UNE RAISON PRÉCISE !

 

(Attention cet article est protégé car extrait d’un de mes livres)

 

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22 avril 2008 2 22 /04 /avril /2008 18:19

 

 

De grâce, en lisant les lignes suivantes ne partez pas les mains sur la tête en criant : « je ne comprend rien ! ». Lisez sans pousser des cris de désespoir et je vous promets que vous allez comprendre, même si vous avez quitté l’école en « terminale » de l’école primaire !

 

L’espace de notre environnement est homogène et donc non-réalité. C’est de cette non-réalité que peut surgir un monde nouveau reposant sur l’hétérogénéité.

 

Voilà, la messe est dite ! Vous êtes toujours là ? Bravo ! Ayant décidé de ne pas vous ensevelir sous des termes imbuvables, j’illustrerais très bientôt ces deux phrases avec un exemple simple.

Avant tout, qu’est ce qu’un milieu homogène ? Nous en avons deux qui sont à notre portée, l’air et l’eau, deux éléments, qui en ont enfanté deux autres, bien connus par les alchimistes puisqu’ils font partie des fameux quatre éléments : Feu, Terre, Air et Eau qui sont le moteur de leur travail au laboratoire.

Si nous lisons la phrase précédente en caractères gras, tout ce qui est dans l’air est non-réalité ! Nous pouvons en conclure que tout ce qui nous entoure, enveloppé par l’homogénéité de l’air, n’est pas là manifestation du réel ! En effet, la réalité repose sur l’hétérogénéité, qui doit se manifester dans l’air lui-même, doit surgir de lui ! Un meuble, par exemple, ne surgit pas de l’air mais d’un atelier d’ébénisterie.

Vous voilà fin prêt pour aborder l’exemple dont je vous parlais précédemment. Pour cela nous allons utiliser le milieu homogène de l’eau.

Prenez une casserole d’eau et chauffez là sur votre cuisinière. Vous allez bientôt voir se manifester l’hétérogénéité par des courants puis des mouvements désordonnés qui caractérisent l’ébullition. Vous obtenez donc une hétérogénéité sans structure juste bonne à faire cuire des patates.

Changeons de méthode, plaçons de l’eau dans une petite boîte de verre circulaire dont les bords ont un centimètre de hauteur (boîte de pétri) et maintenant au lieu de la chauffer plein pot, chauffez tout doucement, très doucement. Vous verrez des courants se former et puis plusieurs cellules apparaîtront, qui ne seront pas sans évoquer les membranes des cellules vivantes. On appelle ces formes hétérogènes qui surgissent de l’homogénéité de l’eau des structures dissipatives. Vous comprenez pourquoi le Feu est pour les alchimistes le moteur de leur œuvre et aussi celui de la manifestation de la vie dans cette douce chaleur qui caractérise le ventre de toutes les mamans ? Inversement, si vous pensez à la casserole d’eau bouillante, comprenez-vous pourquoi le feu trop fort peut tuer ? C’est d’ailleurs pour cette même raison que les alchimistes disent que le feu tue. Alors, quand vous verrez un alchimiste devant un four, soyez prudent, il peut fort bien travailler à tout autre chose qu’à son Grand Œuvre.

Si nous regardons la deuxième figure des dix-sept de Jean Conrad Barchusen qui daterait (d’après Barchusen) de 1635, nous voyons l’alchimiste à genou, priant à côté d’un lit bien fait. En face lui, sort de l’homogénéité de l’air la divinité la tête surmontée d’un triangle de Feu. On remarque immédiatement que cette vision est issue de l’homogénéité de l’air car tout ce qui est à côté de cette manifestation disparaît.

Si le lit bien fait traduit les veilles de l’alchimiste, il indique cabalistiquement qu’il faut bien lire la gravure. Les pieds de l’orant sont presque sous le lit, ce qui indique bien le sous entendu cabalistique. Cette interprétation est confirmée par le livre ouvert en premier plan. J’arrête là cette interprétation car je ne sais encore comment procéder pour calibrer une image afin qu’elle puisse illustrer cet article.

Dans cette gravure, c’est la prière qui est à l’origine de cette hétérogénéité de l’air faisant apparaître ce personnage divin.

L’hétérogénéité peut être provoquée de différente manière notamment par la magie. Ainsi, une personne âgée aujourd’hui décédée depuis trente ans me racontait qu’elle avait assisté, au début du XXe siècle, à Limoux (Aude) à une apparition qui épouvanta une partie de la ville. Un cheval géant parcourait les rues au grand galop. Il s’engagea sur un pont traversant l’Aude et plongea dans le fleuve où il disparut. Il a donc été dissous dans l’homogénéité de l’eau d’où il avait du sortir et prendre son autonomie. Le « mythe » du Golem, des hébreux cet être humain artificiel animé, prends ici tout son relief !

En alchimie, la réussite réside en la capacité de l’adepte à créer l’hétérogénéité à partir des substances qu’il travaille. Il n’est donc plus question de réactions chimiques, mais de réactions psychiques… AU LABORATOIRE ! ! ! Cette aptitude est étroitement assujettie à la dimension spirituelle de l’adepte, à sa capacité à maîtriser le silence de sa pensée. Les matières peuvent alors manifester en petit la genèse des mondes et se transformer en pierre philosophale. Partir comme un benêt à la recherche des pouvoirs paranormaux est la pire erreur et la pire perte de temps que l’on puisse faire.

 

(Attention cet article est protégé car extrait d’un de mes livres)

 

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20 avril 2008 7 20 /04 /avril /2008 16:17

 

A lire après analogie et alchimie 7

Intuitionnisme, logique et moustaches du chat.

 

Il est évident que l’intuitionnisme est en rapport étroit avec les aptitudes particulières de notre hémisphère cérébral droit.

L’intuitionnisme se définit d’une manière générale comme un processus cérébral (que certains appellent, à tort, une doctrine) qui privilégie un mode de connaissance direct et immédiat atteignant une réalité donnée.

Évidemment, à l’intuition s’oppose le raisonnement qui est en rapport étroit avec les aptitudes particulières de notre hémisphère cérébral gauche. La théorie du raisonnement correct ou logique a une valeur de certitude.

Poincaré résume ces deux manière de penser en leur donnant leur véritable sens :

« La logique, qui peut seule donner la certitude, est l’instrument de la démonstration ; l’intuition est l’instrument de l’invention. »

Ce sens de l’invention, peut-on le cerner ?

Plongeons dans l’originalité sans être pour cela farfelu. Dans ses ouvrages, l’alchimiste Fulcanelli décerne au chat des facultés particulières, d’ailleurs partagées par les Égyptiens. Cela est resté quelque peu poétique et aberrant, jusqu’au jour où des scientifiques marseillais obtinrent, à cause d’une expérience manquée, de troublants éléments de réponse.

L'expérience visait à étudier le temps de réaction d'un chat. Quand il appuyait sur un levier, au bout d'un laps de temps, l'animal devait lever la patte du levier avant la fin de la sonnerie. Le conditionnement échoua car l'animal soulevait toujours la pâte 1/10 de seconde avant que ne retentisse la sonnerie.

Les chercheurs calculèrent, à l'aide d'un ordinateur, une suite de délais (entre le moment où le chat appuie sur le levier et l'instant où est déclenchée la sonnerie) variant en suivant une fonction mathématique. Lors de ses premiers essais, le chat se trompait puis, progressivement, ces erreurs diminuaient et finissaient par disparaître. L'animal levait toujours sa pâte 1/10 de seconde avant le début de la sonnerie comme s'il en connaissait la fonction mathématique complexe.

Ensuite les scientifiques associèrent le temps, séparant la pression du levier et le début de la sonnerie, au hasard. Au début l'animal fit des erreurs puis se trompa de moins en moins. Par la suite, il devina toujours le moment où allait retentir la sonnerie.

Cette même série d'essais fut faite sur le singe. Le primate avait beaucoup de mal à prévoir le moment où allait retentir la sonnerie.

L'homme fut également testé. Il se révéla totalement incapable d'obtenir un résultat.

Les comptes-rendus de laboratoire disaient que les hommes testés faisaient mentalement des suppositions et hypothèses pour tenter de comprendre afin de réussir.

Le chat et donc un animal « intuitionniste » très particulier puisqu'il se révèle capable, sans se poser de questions, de réaliser ce que l'on appelle une « extraction d'invariance », c'est-à-dire de trouver un ordre la où pour l'homme il y a la pas. Dans cette expérience le « hasard » était calculé par un ordinateur. C'est donc un ensemble de fonctions hypercomplexes dans lesquelles le félin domestique s'avère capable de trouver des repères (ou référentiel) qui nous dépassent.

Quand on sait que le chat possède l'équivalent de deux cerveaux droits, on est moins surpris par les résultats. Cette aptitudes existe chez l'homme mais elle est affaiblie par la culture qui privilégie le cerveau gauche rationnel. Pourquoi un homme ne réussit-il pas là où le chat est passé maître ? Parce que l'individu, comme le montrent les comptes-rendus des expériences, ne réduit pas au silence, lors des tests, son cerveau rationnel. Il se pose des questions et formule des hypothèses.

Ainsi l'approche de certains domaines de la culture qui nous semblait paradoxaux ou incompréhensibles, comme la philosophie alchimique et la plupart des doctrines religieuses sont, en fait, à la portée de notre intelligence mais hors de portée de notre logique rationnelle. Alors, attention à ceux qui veulent tout expliquer ! Vive le chat noir, à moins qu’il s’agisse du chaos noir.

 

(Attention les articles Analogie et alchimie 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8… sont protégés car extrait d’un de mes livres)

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19 avril 2008 6 19 /04 /avril /2008 08:08

 

(Les articles intitulés ANALOGIE ET ALCHIMIE se lisent dans l’ordre de leurs numérotations : 1, 2, 3,… Car la suite de ces articles forme un tout cohérent et progressif.)


Induction analogique et vision holoscopique

 

On pourrait me reprocher de rester théoricien à propos de l’holoscopie. Aussi pour montrer l’importance de l’analogie dans les sciences, je vais prendre un exemple bien connu, celui du fondateur de la paléontologie et de l’anatomie comparée. Il s’agit de Georges Cuvier (1768-1832).

Ce dernier utilisa l’analogie, plus exactement l’induction par analogie en anatomie comparée pour parvenir à une vision holoscopique qui révolutionna la paléontologie et la biologie.

 

Le rôle de l’analogie ne se borne pas à établir des comparaisons entre deux objets donnés. L’analogie permet de prévoir ce qui n’est pas encore connu. C’est l’induction par analogie permettant d’accéder à une vision holoscopique, et donc de découvrit le TOUT dans une partie.

La démarche scientifique de Georges Cuvier illustre parfaitement ce processus. Il n’est peut-être pas, en effet, de naturaliste qui l’ai formulé avec autant de rigueur et l’ai appliqué avec tant de bonheur. Aussi, je lui laisse la parole :

 

« Tout être organisé forme un ensemble, un tout, un système unique et clos, dont les parties se correspondent mutuellement et concourent à la même action définitive par une réaction réciproque. Aucune de ces parties ne peut changer sans que les autres changent aussi, et, par conséquent, chacune d’elles, prise séparément, indique et domine toutes les autres…

La forme de la dent entraîne le forme du condyle, celle de l’omoplate, celle des ongles, tout comme l’équation d’une courbe entraîne ses propriétés… Toutes les fois que l’on a seulement une extrémité bien conservée, on peut, avec de l’application, et en s’aidant avec un peu d’adresse de l’analogie et de la comparaison effective, déterminer toutes ces choses aussi sûrement que si l’on possédait l’animal tout entier. »

 

Quant aux applications que Cuvier a su tirer de cette induction analogique conduisant à la vision holoscopique, il suffit de considérer l’exemple désormais classique, et mainte fois cité, du Paléocotherium. Cuvier n’ayant à sa disposition que quelques ossements séparés, recueillis dans les carrières de gypse de Montmartre, donna de cet animal une reconstitution complète dont l’exactitude fut confirmée par la découverte ultérieure du squelette complet.

Je pourrais donner d’autres exemples ou l’analogie joua un rôle fondamental dans de nombreuses découvertes de la globalité d’un phénomène vital. Mais le but ici est seulement d’illustrer combien l’analogie bien comprise peut permettre de découvrir que le processus holoscopique ne se borne pas uniquement à un hologramme. Si vous me permettez une métaphore : notre monde est un hologramme brisé, à nous de le reconstituer pour accéder au titre d’homme Sapiens, d’homme sage…

 

 

(Attention les articles Analogie et alchimie1, 2, 3, 4, 5, 6, 7… sont protégés car extrait d’un de mes livres)

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18 avril 2008 5 18 /04 /avril /2008 10:09

  (Les articles intitulés ANALOGIE ET ALCHIMIE se lisent dans l’ordre de leurs numérotations : 1, 2, 3,… Car la suite de ces articles forme un tout cohérent et progressif.)


Analogie et Cabale

 

J

’ai toujours aimé Rabelais et son truculent langage dont Victor Hugo disait que l’éclat de rire énorme était un gouffre de l’esprit. Ce gouffre spirituel se caractérise par l’extraordinaire aisance des jeux de mots qui, actuellement, ne sont pas toujours appréciés à leur juste valeur. Il est vrai que le langage de l’époque Rabelaisienne nous pose, au fil des générations, de plus en plus de difficultés de décryptages. Le livre qui m’a révélé l’ampleur de ce procédé est « L’ile sonnante », dont le frontispice représentait une ile sur laquelle on pouvait voir de multiples clochers. En réalité Rabelais conseillait au lecteur de lire la sonorité des mots ou la phonétique des textes. L’analogie des sons est la colonne vertébrale de l’œuvre rabelaisienne. Quand on sait que le curé de Meudon était alchimiste, les jeux de mots prennent une profondeur abyssale dont ce génie du XIXe siècle, qui était Victor Hugo, avait saisi toute l’originalité.

Ce procédé phonétique fait partie d’une manière de s’exprimer appelé Cabale par les alchimistes. Il ne faut pas la confondre avec la Kabbale hébraïque. L’étymologie des deux termes est différente. Cabale veut dire cheval et Kabbale signifie tradition.

Les préoccupations spirituelles de l’ancienne chevalerie sont en rapport étroits avec la cabale s’exprimant par la phonétique, le rébus, le blason… Les racines grecques et latines ne sont pas négligées.

Cependant, il faut retenir ce fait incontestable que le cheval est le moteur de l’œuvre grâce à ses quatre pattes ou quatre éléments (Feu, Terre, Air et Eau) qui caractérise l’animal de selle (sel).

Dans sa manifestation phonétique, la Cabale est une véritable langue secrète qui fut révélée par Grasset d’Orcet et ensuite par l’alchimiste Fulcanelli (in Le mystère des cathédrale » et « Les demeures philosophales »). La phonétique plus ou moins parfaite (certains changements peuvent être imputés à l’érosion du temps) s’attache à toutes les langues, car elles sont issues des langues matrices qui sont le Grec et le Latin. Cela est en plein accord avec l’esprit de la Pentecôte :

 

« Et ils furent tous remplis de l’Esprit saint, et ils commencèrent à parler en diverses langues, selon que l’Esprit saint leur donnait de s’exprimer. » (Acte des apôtres, II, 4.)

 

La cabale est donc appelée langue du cheval, mais aussi langue des oiseaux qui est en réalité la langue des oies fort bien illustré par les contes de ma mère l’oie de Perrault. Il s’agit de la grande loi qui régit la nature et aussi le travail des alchimistes, d’où la langue des Dieux. Mais des oiseaux parlent comme le geai, d’où la gaye ou gaie science ou encore gaie savoir, donné à la cabale. Les oiseaux se perchent sur les arbres, ce qui donna la langue verte ou lange inverse d’où est tiré l’actuel verlan.

La cabale permettait d’accéder à la plénitude du savoir, à condition d’avoir développé sa vision holoscopique. Ainsi les initiés peuvent enfourcher le cheval ailé ou Pégase des poètes grecs. C’est lui qui permet l’accès des régions inconnues et, comme il se doit DE TOUT VOIR et de ce fait de TOUT COMPRENDRE au-delà de l’espace et du temps. Comprenez-vous l’intérêt de procéder à une métanoia afin de permettre à la pensée holoscopique ayant accès au TOUT de se manifester ? Sans cela la cabale devient un concours de jeux de mots stériles, ou certains tentent de codifier les lois afin qu’elles puissent révéler l’art de fabriquer de l’or ou de vivre éternellement. Il est bien évident que ceux qui ne changent pas leurs manières de penser, en conservant un discours rationnel selon les règles en vigueur, ne parviendront jamais à dépasser les barrières de notre univers discursif et n’accéderont pas à une véritable spiritualité.

Telle est la raison pour laquelle la cabale ou LANGUE DES MYSTÈRES, domine toute la didactique de l’alchimie par l’intermédiaire du symbolisme, de l’iconographie, de l’art, et de la littérature.

 

(Attention les articles Analogie et alchimie1, 2, 3, 4, 5, 6… sont protégés car extrait d’un de mes livres)

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17 avril 2008 4 17 /04 /avril /2008 18:41

(Les articles intitulés ANALOGIE ET ALCHIMIE se lisent dans l’ordre de leurs numérotations : 1, 2, 3,… Car la suite de ces articles forme un tout cohérent et progressif.)
 

L’analogie et l’univers holoscopique

 

 

C

et article est en rapport étroit avec celui qui précède intitulé « L’analogie et l’univers holographique ». Nous pouvons dire que l’holoscopie est la conséquence directe de l’holographie. Ce mot comporte en effet le terme hologramme. Il est composé aussi du mot scope qui signifie voir (cf. télescope, périscope, épiscope…)

De ce fait, la vision holoscopique consiste à savoir observer le monde dans sa structure holographique où la totalité est présente partout.

Donc, pour être intégré à notre univers holoscopique nous ne pouvons que suivre les conseils du psychologue André Demailly (Maitre de conférence à l’Université Paul Valéry de Montpellier) et du Professeur Daniel Fabre (du Laboratoire de Neuro Physiologie sensorielle de L’Université des Sciences et Techniques du Languedoc) quand ils disent qu’il est nécessaire d’essayer « de penser de telle manière que ce que l’on étudie en détail soit la représentation du tout »

Évidemment, convenons-en, cela est plus facile à dire qu’à faire. Pour mieux saisir ce qu’est cette manière de penser, il est d’abord nécessaire de savoir comment notre cerveau pense. Sans nous perdre dans les méandres d’un exposé psychologique ou encore dans l’explication ardue d’un processus neurophysiologique, disons brièvement et sans aborder les références que vous pourrez trouver dans mon livre « holoscopie de la spiritualité occidentale » que nos encéphales cérébraux pensent différemment. L’encéphale gauche est le support de la pensée rationnelle et le droit est le siège de la pensée globale. Pour fixer les idées le gauche s’occupe du détail et le droit du général. Cette répartition des tâches ne concerne pas uniquement le cerveau. Nous la trouvons également dans l’œil ou la partie analytique de la rétine ou fovéa, constituée de cellules spécialisées dans la vision précise, nous permettant de lire, et les cellules périphériques, spécialisées dans la vision globale. Le plus curieux sont les expressions particulières utilisées lorsque l’on a compris, quand nous disons : « je vois ! », « c’est clair », « c’est lumineux ! ». C’est comme s’il existait une curieuse relation, qui reste à trouver, entre la vision et la pensée. L’analogie de structure provoque-t-elle un lien entre les processus psychiques et la vision, cela indépendamment de la structure biologique ? À moins que cette analogie provoque une mystérieuse résonance qui met en harmonie la vision et la pensée ?

En réalité, notre Univers étant de structure holographique il est normal que tout ce qui le constitue laisse apparaître d’une manière ou d’une autre la dimension holoscopique. Ainsi, chaque être vivant est un individu (qui ne peut être divisé) et pourtant chacune des milliards de cellules qui le constituent contient en potentialité, dans son patrimoine génétique, l’individu entier.

Donc, pour découvrir la forme holoscopique (hologramorphisme) de tout ce qui nous entoure il est essentiel de réapprendre à penser. Nous sommes habitués à réfléchir de la même manière que la fovéa analytique de notre œil. Nous n’utilisons que notre pensée rationnelle. Nous analysons, mais le reste, le sens de la globalité est en friche. C’est donc tout l’hémisphère cérébral droit qui est en sommeil. Or, sa richesse est considérable puisqu’il est le support biologique de 90 % de notre intelligence. Pour l’utiliser il faut d’abord savoir que cet hémisphère est muet. Il ne peut communiquer des ordres à nos organes phonatoires, comme le fait fort bien l’hémisphère cérébral gauche. Je veux dire qu’il ne peut entrer en action que si l’on accède au silence de la pensée. Nous retrouvons là les techniques orientales de vacuité, technique que l’Église Chrétienne (sauf dans certains monastères) a éradiquée.

Oui, apprendre le silence de la pensée c’est communiquer avec notre hémisphère cérébral droit qui nous informe d’une manière intuitive sur la dimension holoscopique de tout ce qui nous entoure.

Comme la manière de penser change on parle alors de métanoïa ou métamorphose de la pensée. Ces choses simples conduisent aux plus hauts niveaux initiatiques, mais il y a… du pain sur la planche. Ceux qu’y s’y attèlent progressent considérablement. Je souhaite à toute et à tous d’y parvenir.

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  • : Alchimie, cabale
  • : Il s'agit ici d'Initiation christique, de lien entre le christianisme initiatique ancien et les différents courants de la mystique permettant une fructueuse transformation de la pensée(métanoïa) pratiquée par les alchimistes. Des sujets divers sont abordés : Spiritualité, initiation, alchimie, cabale, mythologie, symbolisme...
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