Il s'agit ici d'Initiation christique, de lien entre le christianisme initiatique ancien et les différents courants de la mystique permettant une fructueuse transformation de la pensée(métanoïa) pratiquée par les alchimistes. Des sujets divers sont abordés : Spiritualité, initiation, alchimie, cabale, mythologie, symbolisme...
Pour la majorité de nos concitoyens ce nom d’Antoine Béchamp n’est rien. S’il n’est rien c’est parce qu’il fait partie de ces chercheurs maudis qui se sont opposés à juste titre aux « pontes ».
Il naît en 1816 et il meurt en 1908, en pleine activité en qualité de professeur à la Sorbonne.
Il était pourvu de multiples titres dont les principaux sont le doctorat en pharmacie, le doctorat es science, et le doctorat en médecine. Cela le conduisit à la Faculté de médecine de Montpellier où il sera professeur de chimie médicale et pharmaceutique.
Le professeur Paul Pagès, qui exerçait à la faculté de médecine de Montpellier, à toujours considéré Béchamp « comme le plus grand biologiste de tous les temps » ; jusqu’à sa mort, en 1976, il a écrit et parlé pour soulever le mur de silence élevé sur ce nom.
Béchamp était un homme vrai. De ce fait il était donc enfermé dans un monde qui n’était pas le sien, il était (disait André Gide), « Dans un monde où chacun triche. » De ce fait « c’est l’homme vrai qui fait figure de charlatan ». Personne ne lui a pardonné d’avoir contrarié Pasteur en démontrant les faiblesses de la théorie microbienne. Tout comme d’autre, tel le chercheur d’origine yougoslave, Mirko Belganski fut discrédités pour s’être opposé au tout puissant Monod. Si tout ce qui remet en cause un dogme établi dérange et provoque la destruction de celui qui a osé… Nous n’aurons jamais une énergie à prix modique et la guérison du cancer n’est pas pour demain !
Aussi je dis naïvement et sans y croire, mais je le dis car il faut le dire : Cette attitude des chercheurs et des médias nécessiterait une réflexion VERITABLE sur notre République.
L’idée qui fâche, mais maîtresse, de Béchamp la voici :
« Rien n’est la proie de la mort,
Tour est la proie de la vie .»
Sa théorie de la vie, qu’il déduisit de nombreuses et solides expériences, clairement exposées dans son ouvrage capital : « Les microzymas dans leurs rapports avec l’hétérogonie, l’histogonie, la physiologie et la pathologie » est actuellement la seule qui permette aux modernes biologistes, d’interpréter de nombreux phénomènes pathologiques inexplicables par les théories classiques tel que « lésions et troubles morbides singuliers engendrée par les bacilles tuberculeux morts, enrobés dans l’huile de vaseline », observation et interrogation posées par les deux pastoriens Saënz et Canetti en 1939 et publiées dans la « Presse médicale ».
« La théorie microbienne est la théorie du microzyme vue à l’envers », écrivait Béchamp.
La dernière page de ce livre puissant, véritable hymne à la vie, éclaire la pensée de l’auteur.
« Le rôle des microzymas est immense ; ils sont au commencement et à la fin de tout être vivant. » Et le résumé de tout est contenu dans un énoncé très simple :
« Tout être vivant est réductible au microsyma. »
A vous cher lecteurs d’aller plus loin dans la pensée du plus grand biologiste de tous les temps dont devrait s’enorgueillir la Faculté de médecine de Montpellier, la plus ancienne d’Europe.