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1 avril 2013 1 01 /04 /avril /2013 13:53

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Parler d’alchimie et en plus de suprasensible est pour le moins déroutant car nous sommes là en marge de notre manière habituelle de percevoir le monde. Nous sommes dans une position opposée à celle qui est courante de nos jours, même si l’informatique permet de faire naître une sorte de monde onirique avec les reconstitutions et les inventions de choses qui n’existent plus ou n’ont jamais existé.

Les déistes, et même les chrétiens actuels, ou ceux qui  défendent une vision idéaliste de l’homme ne parlent jamais de la dimension suprasensible de l’être humain et de l’univers et encore moins d’alchimie qui reste dissociée de ce concept, déjà difficile à concevoir. Car l’alchimie est considérée comme une sorte de métallurgie pour cervelle dérangée qui concerne, dans le meilleur des cas, des sortes de rêveurs géniaux mitonnés de surréalisme… En fait reconnaissons que le surréalisme a parfois  puisé ses visions dans la dimension suprasensible du monde des alchimistes… mais, pour beaucoup, le surréalisme est mort. Rions ! S’il est mort c’est en nous tirant la langue, puisque c’est nous qui l’avons étranglé…

Au fil des siècles, nous avons pris l’habitude d’initier les enfants à une conception du monde selon laquelle notre terre n’est qu’un petit grain de poussière au sein du cosmos, et sur ce petit grain de poussière  se meuvent d’autre grains de poussière bien plus petit encore : les hommes, tellement insignifiants au regard du cosmos. Or, cette idée de grain de poussière terrestre s’est glissée dans tous les esprits et dans tous les cœurs et se résume par la fameuse formule que l’homme est, sur le plan du volume, entre l’atome et l’étoile. En conséquence, nous sommes resté des volumes, des quantités et avons fini par perdre la possibilité d’établir un rapport avec ce qui existe en dehors du règne terrestre. Maintenant, rien n’est en dehors de l’univers perceptible pour nos sens, et cela même si nous savons qu’il nous est impossible de percevoir un champ biomagnétique et bioélectrique qui, tout en étant les fondements de la vie ne peuvent être appréhendés par nos sens.

Pourtant, cette curieuse constatation que l’homme est entre l’infiniment grand et l’infiniment petit devrait éveiller l’attention mais, malheureusement, le sens des analogies s’est perdu pour laisser la place au principe d’identité... « Une chose est ce qu’elle est » n’allons pas chercher ailleurs ! Ne nous plongeons pas dans le bourbier des analogies même si à l’école nous est inculquée, dès l’enseignement secondaire, l’analogie entre un circuit hydraulique et électrique.

Bien que l’homme ne s’en rende pas compte et que cela demeure encore dans l’inconscient, c’est avec une netteté évidente que la sensibilité humaine est invitée à tourner énergiquement son regard vers l’aspect suprasensible de son être et donc également de l’univers. C’est de cet élan dont nous ignorons les sources profondes que jaillissent ces besoins impérieux de renouer avec cette spiritualité sauvage qui donna naissance à l’univers varié de ce qu’il est maintenant convenu d’appeler sectaire et donc de lui attribuer une  connotation dangereuse, dangereuse en réalité, pour la dimension matérialiste qui sous tend la pensée raisonnable d’un homme que l’intelligentsia a dogmatiquement qualifié de sain et de raisonnable.

Souvenons-nous de cette progression cancéreuse qui a voulu qu’au cours des derniers siècles le matérialisme ait répandu ses métastases jusqu’à toutes nos connaissances qui se sont hypertrophiée et subdivisée en de multiples cellules impossibles à maîtriser. En d’autres termes plus personne ne parvient à définir un cap. Et nous pouvons dire qu’il n’y a plus de pilote dans l’avion. Cela est normal et tout à fait prévisible car le matériel a ses limites impossibles à transcender.

Fort heureusement pour nous l’alchimie l’a fait en se servant de la matière pour parvenir à échanger avec le monde immatériel du suprasensible. Ce monder de l’imperceptible fut le substrat des religions et plus particulièrement du christianisme des premiers siècles... de nos jours perdu.

Qu’est-ce que le matérialisme ?

Le matérialisme est une conception du monde qui considère que l’homme émane des substances et des forces de notre terre. En cela Jacques MONOD est extrêmement convaincant en son livre Le hasard et la nécessité. Et même si certains insistent sur le fait que l’homme n’est pas seulement issu de ces substances et de ces forces terrestres, il n’existe néanmoins aucune science, si ce n’est l’antique alchimie, qui traite de ce qui chez l’homme et les êtres vivants ne découle pas des substances et des forces de la terre. C’est pourquoi ceux qui émettent les multiples affirmations bien intentionnées disant que ce qu’il y a d’éternel en l’homme, et dans tout être vivant, peut tout de même être compris d’une façon ou d’une autre, ne sont pas vraiment sincères sauf… s’ils sont alchimistes dans le sens vrai du terme, comme l’était un FULCANELLI ou un Roger CARO ou d’autres encore, et non pas occultiste à la recherche d’un minable secret…! Car l’alchimie dans son étude des causes cerne les processus immatériels et suprasensibles de tout être vivant et n’a point besoin d’appareils sophistiqués pour en saisir non pas la structure mais le rayonnement. Que l’étoile de Bethléem soit votre guide.

Avec toute mon amitié.

 

P.S. Over-blog m'a incité à passer sur son nouveaux support (sans espoir de retour), Celui-ci s'avère minable, en plusieurs domaines et totalement inadapté. En me proposant son nouveaux support Overblog a, en plus, détruit plusieurs de mes articles. Pour offrir des textes bien lisibles et bien illustrés j'ai ouvert un nouveau blog dans ECKABLOG sous le pseudo. d'Hermophyle. Pour lire un article vous l'avez maintenant en double exmplaire l'un dans Overblog devenu minable, l'autre dans Eklablog selon mes desiderats. Ainsi vous pouvez maintnant  passer du médiocre et illisible Overblog à la clarté des illustrations et gros caractères bien lisibles d'EKLABLOG.

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29 janvier 2013 2 29 /01 /janvier /2013 18:56

Hendaye 4ages

Cette croix d’Hendaye m’amuse car elle est pleine de surprise. Quand je la regarde, elle m’inspire toujours des choses auxquelles je n’avais jamais pensé. Peut-être me rend-elle poète ? Si c’est vrai allez savoir pourquoi !

Elle fait couler beaucoup d’encre cette petite croix qui ne paye pas de mine. Et voilà que j’en rajoute une couche à mon corps défendant. J’y suis pour rien si j’ai des choses à dire et que je suis obligé de m’exprimer au milieu d’une faune de plumitifs avides de notoriété.

N’oubliez pas l’esprit de mon blogue qui est de m’éclater et de pouvoir parler à satiété de la richesse des courants d’airs qui traversent ma cervelle. En d’autres termes, c’est pour moi un espace de liberté. Je fais tout de même en sorte que cela vous intéresse histoire de ne pas vous faire perdre de temps et vous donner envie de lire mon pot-pourri en prose fantasque et bien souvent relâchée.

Comprenez qu’avant d’aborder le rébarbatif, qui n’est autre pour moi que le sérieux aussi profond qu’une tombe, j’ai envie de blaguer pour entretenir ma santé mentale et la vôtre par la même occasion…

Pythagore n’est pas mon voisin de palier, c’était un Grec qui comptait avec des petits cailloux (un original à coup sûr). Il inventa donc le calcul y compris celui que nous avons dans les reins.

Ce grand homme comptait 1 pour un caillou puis 2 pour deux. Il ne voulait pas casser les cailloux, et cela, on peut le comprendre, il réservait ce genre d’activités aux forças.

Donc pour lui 0,5 caillou ou 1,5 caillou ne pouvait pas exister. Pays béni où l’on ne coupait pas les cailloux en quatre, ce qui évitait de se casser la tête. Mais ne croyez surtout pas qu’il donnait dans la simplicité enfantine.

Ce qu’il fabriquait n’était pas du niveau de terminale maternelle. Pourtant, cela paraissait simple puisqu’il formait des figures comme pour s’amuser. Tenez, en voici une, la plus célèbre de toutes :

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Elle a l’air simple cette figure et pourtant notre homme de l’antiquité venait d’inventer les nombres figurés parce qu’ils forment des figure comme ici un triangle. Et en même temps il nous empoisonna la vie avec une formule que lui inspira la disposition de ces dix cailloux, il devait être un peu médium pour en arriver là ! Jugez vous-même. Remarquez que si certains individus ont l’art d’accoucher d’une souris, notre Pythagore était pourvu de l’art d’accoucher d’un monstre du Loch Ness :

 

                             formule-generale3.jpg

  

Oui, Pythagore trouva cette formule au début du Ve siècle avant Jésus-Christ ! Et je parie que vous ne la connaissez pas cette formule vieille de 2500 ans ! Normal, les hommes ont cherché tellement tôt à s’empoisonner la vie avec le calcul que l’on n’a aucune envie de colporter leurs jeux de cailloux.

Faisons simple, nous voyons que le 4e nombre triangulaire est 10, c’esr à dire : 1 + 2+ 3+ 4, alors inutile d’utiliser la formule pour le calculer puisqu’un coup d’œil suffit ! Pour les savatasse ça s’écrit comme cela :

                         nombre-tri-de-4.jpg

Mais il faut se rappeler qu’à l’époque où saint Jean écrivait l’Apocalypse (c’était un vieux sage nonagénaire) il n’ignorait pas ses classiques que ce soit en math ou ailleurs.

Notre apôtre aimé du Christ devait jouer avec les nombres car 36 l’intéressait particulièrement, peut-être parce qu’il exprimait trois fois le chiffre 6. Toutes valeurs exaltant le trois autant par la forme que par les multiples.

Aussi ne soyons pas surpris si notre apôtre a cherché à faire apparaître, concrètement, trois fois le six en un seul nombre en calculant le 36e nombre triangulaire grâce à la vieille formule précédente (elle avait déjà un demi-millénaire), de Pythagore.

                            666-simple.jpg

En son apocalypse, il interprète cette valeur comme un nombre à deux faces : l’une est liée à l’homme, l’autre est associé à une bête malfaisante :

« C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule ne nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. » (Apocalypse, chapitre 13 verset 18.)

 

Ce n’est un secret pour personne que l’homme peut être malfaisant, bestial, méchant et cruel au-delà de l’imaginable.

Cependant l’essentiel me semble dans l’utilisation des nombres triangulaires par. Pourquoi les utilise-t-il si ce n’est pour attirer l’attention sur Pythagore et ses quatre premiers nombres triangulaires ou tétractys ?

En effet, Pythagore avait un curieux comportement face à ses dix cailloux disposés en triangle puisqu’il les vénéraient au point d’avoir composé une prière pur elle ! Il l’appelait le « nombre du monde », lisez cette curieuse supplication :

 

«  Bénis-nous. Nombre divin, toi qui a engendré les dieux et les hommes. Oh sainte Tétractys, toi qui contiens la racine et la source du flux éternel de la création. Car le nombre divin débute par l’unité pure et profonde et atteint ensuite le quatre sacré ; ensuite il engendre la mère de tout, qui relie tout, le premier né, celui qui ne dévie jamais, qui ne se lasse jamais, le dix sacré, qui détient la clé de toutes choses. »

 

Pythagore était avant tout un éveillé et un mystique, ce que l’on appelle « grand initié ». Je place cette expression entre guillemets car ce genre d’initié n’est plus à la phase initiale (comme l’indique le terme d’initié utilisé seul) de son processus de développement psychologique et mystique A ce titre, il n’ignorait pas ce qu’était le « templier » (voir mes précédents articles). De ce fait, l’interprétation de cette prière est inséparable des concepts alchimiques fondamentaux comme le ternaire soufre mercure et sel ou les quatre éléments associés aux principes fondamentaux indissociables de là  manifestation de la vie ou encore la multiplication qui obéit au facteur 10. Ces concepts apparemment simples peuvent être associés aussi à des connaissances actuelles et futures.

Tout cela peut être difficile à concevoir sauf si nous nous tournons vers le concept actuel, et fondamental, d’inséparabilité et de résonance où l’individu convenablement préparé joue le rôle de résonateur vis-à-vis des forces universelles. Tout cela est abordé dans mes articles précédents et aussi dans Holoscopie de la spiritualité occidentale.

Oui la Tétractys est étroitement liée indépendamment de ses rapports avec l’alchimie que j’ignorerais donc ici.

D’abord, j’écris, depuis 1972, que la suite des nombres naturels 1, 2, 3, 4, correspondent aux valences des atomes sur lesquels s’est élaborée toute matière vivante : 1 = Hydrogène, 2 = Oxygène, 3 = Azote, 4 = Carbone.

Ces nombres correspondent à ce que l’on nomme valence. En d’autres termes, ce sont des « crochets » dont dispose chacun de ses atomes pour se relier à d’autres.

Par exemple, le carbone (4 crochets) pourra se lier à quatre atomes d’hydrogène (1+1+1+1 crochets), ou deux d’oxygènes (2+2 crochets) ou à un autre atome de carbone (4 crochets).

La Tétractys outre les atomes à la base de la vie est aussi lié à la structure fondamentale de la vie par la présence du quaternaire comme fondement essentiel de l’ADN.

L’ADN permet la fabrication des protéines et donc de toute matière vivante. Or son code pour fabrique toute viande repose sur quatre molécules que l’on appelle bases (puriques et pyrimidiques) ces quatre molécules uniquement sont à l’origine de tout formation de substances vivantes, sans exception, que ce soit la peau l’intestin ou les poumons.

J’attends votre question : Quels rapports avec la croix cyclique d’Hendaye ?

D’abord, il est possible de jouer sur la dispositions des points d’une manière analogue au jeus sur la sonorité des mots en cabale phonétique. En d’autres termes, la Tétractys peut être à l’origine d’une « cabale morphologique » en modifiant le nombre de points.

Reprenons la forme de la Tétractys :

 

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Si nous enlevons le deux points centraux de la base nous obtenons la lettre A :

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Et nous avons quatre A sur le socle de la croix d’Hendaye.

Ors, le A issu de la Tétractys est formé avec huit points. Pythagore nous invite donc à calculer le nombre triangulaire de 8. Cela donne avec la formule :

                                 8--36--666.jpg

Ca y est vous avez saisi puisque le nombre triangulaire de 8 est 36 et celui de 36 est 666.

Or, dans les Pyrénées cette bête existe, c’est celle qui est enchaînée à Tarascon sur Ariège. C’est la Tarasque où dragon de l’Apocalypse qui se réveillera et ne seras pas étranger aux grands bouleversements telluriques que laisse présager la croix.

Alors, matelots, accrochez-vous à la rambarde, ça va bouger ! Mais que cela ne vous empêche pas de dormir. En tout cas Je vous assure que je n’y suis pour rien !

Avec toute mon amitié.

 

 

 

C’est probablement le dernier article avant de reprendre dans un mois ou deux.

 

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26 janvier 2013 6 26 /01 /janvier /2013 11:04

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L’immortalité a son prélude qui n’est autre que l’initiation dans le sens psychologique, spirituel et mystique. Ce prélude initiatique est la conquête de la liberté menant à l’éveil. Quand se prélude est acquit nous sommes aux porte du temple et l’alchimie peut alors déverser sur l’adepte sa corne d’abondance pour en faire un Adepte (avec un A majuscule en initiale) dans le sens plein du terme de celui qui jouit d’une triple félicité : connaissance, santé, richesse…

Ne rêvons pas et commençons donc par le commencement, là où se trouve « l’homme de la rue » dans ses misères journalières…

Que l’immortalité existe ou pas là n’est pas la question.  Les alchimistes y croyaient voici ce qu’en dit Salmon en sa bibliothèque des Philosophes chimiques :

« Nous ne saurions entrer dans ce riche jardin des Hespéride pour y voir ce bel arbre d’or et en cueillir les fruits si précieux qu’après avoir défait le dragon qui veille toujours et en défend l’entrée. Nous ne pouvons enfin aller à la conquête de cette toison d’or que par les agitations et par les écueils de cette mer inconnue en passant entre les rochers qui se choquent et se combattent, et après avoir surmonté les monstres épouvantables qui nous gardent. »

Telle est la traduction concernant l’alchimie interne inséparable de celle du laboratoire.

Voilà donc un programme facilement compréhensible si l’on entend par « agitation » notre propre agitation qui sont des « écueils » en passant par nos « conflit à combattre »… après avoir surmonté les monstres qui nous gardent ! Et oui il y a plusieurs monstres à vaincre. Ma vénérable concierge, cuisinière émérite, dirait en sa sagesse gouailleuse  éprise de raccourcis : « C’est pas de la tarte ».

Ne croyez surtout pas que je vais m’embarquer dans un système psychologisant, ce n’est pas mon tempérament (je suis un inachevé un peu béotien) et je n’ai pas l’intention de vous fatiguer en essayant de comprendre un puzzle psychologique plus ou moins séduisant et surtout plus ou moins lié au vrai.

Abordons donc le cœur du sujet qui s’avère en étroite harmonie avec mon livre Holoscopie de la spiritualité occidentale.

L’immortalité n’est, pour la plupart des hommes, qu’un espoir, un remède à la terreur qu’ils éprouvent à la pensée d’un anéantissement total.

Notre bon Lafontaine a su immortaliser l’angoisse de Louis XIV vieillissant dans sa fable Le lion le loup et le renard:

« Un lion décrépis, goutteux n’en pouvant plus voulait que l’on trouva remède à la vieillesse… »

Non ! ne croyez surtout pas que je vais vous apporter, au sujet de l’immortalité, des assurances solennelles, autoritaires et surtout fallacieuses sorties de « derrière les fagots » (sic, c.f. ma concierge).  Je n’ai aucune prétendue certitude, à l’évidence marécageuse, à vous offrir.

Je ne vais donc pas jouer au gourou ou au sage philosophe pour tenter de vous « monter le bourrichon » (re sic toujours ma concierge) en vous assénant avec la dernière vigueur, des trucs un peu déjantés qui se réduiraient à des articles de foi passionnant, à des affirmation invérifiables qui exaltent la baudruche mais ne peuvent éclairer. Je vous dis cela en connaissance de cause car j’en ai entendu des allumés !

Certes je ne suis ni rationaliste ni néo-cartésien mais ne poussons pas le bouchon trop loin, restons dans les limites de la clarté et du vrai.

En résumé l’immortalité existe mais n’est point celle que vous croyez, ni celle que votre curé vous a insufflée au catéchisme si éloigné de celle des premiers chrétiens.

Je vous propose, non pas une réponse  qui se voudrait décisive au problème de l’immortalité, tel qu’on le pose communément et inconsidérément mais d’une manière alchimique et donc initiatique du terme. De ce fait cela paraîtra insolite et neuf à ceux qui ignorent ce que sont l’initiation et l’alchimie dans leurs substructures spirituelles.

Donc, je ne vous dirais pas que l’immoralité telle que vous l’entendez, l’imaginez ou la rêvez, existe ou n’existe pas. C’est à vous de découvrir cela.

Je l’aborderais en fonction du temps, c’est-à-dire de notre expérience courante du temps dans lequel s’inscrit notre naissance et notre mort, nos attentes et regrets. L’immortalité désigne un état et une prise de conscience et non une affirmation intellectuelle destinée à dissimuler, à tranquilliser une angoisse profonde…

Non je ne joue pas sur les mots en disant que le vécu, au moment où vous lisez ces mots, a un goût d’éternité.

Les chrétiens non instruits des vues théologiques ou mystiques plus profondes, ce qui est souvent le cas puisque l’ignorance est savamment entretenue, confondent volontiers éternité et survie. Pour eux l’éternité leur vie, indéfiniment prolongée. Ils sont attachés à l’aspect durée de cette « éternité ». Ils veulent faire de cette éternité une continuité d’eux-mêmes, de la conception qu’ils se font d’eux-mêmes.

Voilà l’erreur car la continuité est une garantie de déclin. Elle ne peut donc entrer dans l’éternité. Faire « comme avant » où « comme d’habitude » nous enferme dans le fameux « couloir de la mort ». C’est une expression carcérale et mortelle.

En effet, qu’arrive-t-il à quelque chose qui continue ? Il s’use, il tombe en ruine et devient une routine. Oui la continuité est une garantie de dégradation, d’entropie généralisée. J’en sais quelques choses avec ceux qui m’entourent et veulent à tout prix pérenniser une seule manière de pratiquer et de comprendre la spiritualité et l’alchimie. Au point de devenir non pas des sans culottes mais des culottes à l’envers puisqu’il ne s’agit pas d’une révolution mais d’une antirévolution… C’est souvent le drame des traditionalistes, de tous ceux qui se rattachent compulsivement à un maître « canonisé » et statufié oubliant que tradition rime essentiellement avec libération et évolution.

Tel est l’art de trahir un maître… car les fondements qu’il a posés s’avèrent de la plus désolante inutilité puisque son œuvre n’est plus extrapolée et enrichie. C’est ainsi que nos traditionalistes meurent, par suffisance, aux portes du futur. Ils s’enfoncent dans le marécage de leurs désirs ronronnants.

Roue sans fin qui est celle de l’éternel retour, celle qui nous fera éternellement recommencer ce que nous avons fait en un cycle infernal de « réincarnations » qui ne nous fera point avancer.

Le futur étant le reflet d’un passé défunt. Cela me rappelle le titre d’un ouvrage à connotation politique qui ne nous intéresse pas ici : La France aux ordres d’un cadavre. Le cadavre en question étant ici le défunt communisme qui continue, au-delà de sa tombe, d’animer l’action de certains syndicats.

Il est remarquable que l’éternité n’apparaisse pas seulement comme une continuité mais encore comme une éternelle jeunesse. Mais, précisément, ce qui caractérise psychologiquement la jeunesse, proprement dite (comme, du reste cette autre forme de jeunesse qu’est l’amour), c’est son merveilleux pouvoir de renouvellement.

La conception commune de l’immortalité est contradictoire, parce que là où existe une soif impérieuse de continuité, il ne peut y avoir de renouvellement et fraîcheur. Notre vie ne peut être à la foi, une répétition d’elle-même et un perpétuel renouveau. Vouloir persévérer dans l’identique, et vouloir se RECREÉR sont deux exigeantes incompatibles.

 

En voulant la continuité d’une idée, d’un effort, nous appelons sur nous l’accablement du temps, nous nous jetons dans les griffes de la fatigue, de la discorde et de l’ennui… et de la mort comme le dit l’expression : « mortellement ennuyeux ! » nous sommes donc aux antipodes de l’immortalité.

Face à cet ennui mortel nous prend un désir de fraîcheur, de renouveau, de plénitude, mais surtout nous ne voulons pas mourir à nos ambitions, à nos projets. Nous ne voulons pas renoncer à faire le bilan de notre vie le total de nos expériences et acquisitions. Or nous ne pouvons consentir à cette mort. Nous n’en avons pas l‘audace. Nous voulons prolonger, poursuivre, ajouter aux résultats d’hier les résultats d’aujourd’hui. Nous sommes attachés à nos œuvres.

Vanité ! Comprenez-vous pourquoi autant la tradition Occidentale qu’Orientale prônent le détachement comme voie de renouvellement ?

Nous ne voulons pas renoncer aux fruits des efforts et ignorer le passé, admettre que nos poursuites anciennes furent des égarements. Nous ne voulons pas nous dédire, nous renier. Nous avons peur de perdre notre définition.

En cela l’Église catholique, qui ne se dédie jamais même dans l’erreur et perpétue la même idéologie sous différentes défroques, est une parfaite illustration et nous montre donc un chemin qu’il est préférable de ne pas suivre si nous voulons progresser.

Cette opinion vis-à-vis de l’Église n’enlève rien à la magnifique valeur du christianisme véritable.

Or, si nous ne voulons pas mourir d’abord, comment pourrions-nous renaître ? Comment chaque moment pourrait-il nous apparaître frais et neuf si nous le condamnons à servir les intentions du passé, si nous l’enchaînons à des moments révolus ?

En conséquence, une éternité de fraîcheur et de jeunesse ne saurait être une éternité de continuité.

Enfin, l’éternité n’est autre que l’absence de temps !

L’éternité, indissociable de l’immortalité, ne peut se concilier avec cette continuité voulue et préméditée qui est nécessairement enlisée dans le temps. Elle ne saurait non plus apparaître comme un prolongement indéfini. Ce qui se prolonge indéfiniment ou non c’est une durée. L’ÉTERNITÉ NE SE PROLONGE PAS. ELLE EST.

En conclusion, si nous sommes contraints de mourir, quand sonne l’heure de la désintégration biologique, c’est parce que nous n’avons pas su mourir à chaque instant de notre vie, parce que, toute notre vie durant, nous sommes restés empêtrés dans le conflit entre la mort et la vie, sans parvenir à le dépasser en perdant le sens et la soif de notre continuité personnelle…

Si nous ne parvenons pas à vivre au-delà du temps, alors inutile de pratiquer l’alchimie, car le résultat du grand œuvre ne s’obtient pas si nous n’avons pas appris à nous détacher de l’écoulement du temps, si nous n’apprenons à vivre dans l’éternel présent. Voilà pourquoi la réussite du grand œuvre est un don de Dieu. Car c’est lui qui fait pour nous la moitié du chemin en nous menant de l’éternité à l’immortalité.

Nou n’avons qu’à sortir de nos cycles infernaux de perpétuels recommencements… L’immortalité est à la porte de l’éternité, mais entre nous et cette porte, nous avons à rompre l’écoulement illusoire du temps qui crée la continuité et la répétition, cette répétition qui donna naissance,— à l’image de notre manière d’être — aux « réincarnation » sans horizon.

Apprenons donc à nous réveiller chaque matin dans un jour nouveau et ainsi le vieil homme perdra peu à peu sa défroque pour notre plus grand bonheur.

Avec toute mon amitié, je vous souhaite un soleil nouveau chaque jour de votre vie.

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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 17:16

blason Champagne

Les psychophysiologistes sont fascinés par la langue des animaux. Généralement le public est peu informé sur ce qui se trame dans les laboratoires où l’on cherche l’étincelle de l’intelligence chez ses êtres vivants qui sont bien souvent nos compagnons et dont nous ne soupçonnons pas un instant qu’il puissent penser… et peut-être même avoir une opinion sur nous !

j’en relaterais une seule qui reste fondamentale et fut la preuve que les animaux pensent.

On avait appris à un corbeau à ouvrir une boîte qui portait un point sur son couvercle pour picorer un grain contenu dans la boîte. Quand le couvercle de la  boîte portait deux points, l’oiseau l’ouvrait et picorait deux grains, idem avec 3, 4, 5,(…), point, tracés sur le couvercle.

Un jour un expérimentateur disposa quatre boîtes, avec des points sur le couvercle. L’oiseau picora exactement le nombre de grains marqués sur les boîtes, mais dans la boîte marquée cinq, il n’en prit que quatre. L’oiseau entra dans sa cage après l’expérience et l’expérimentateur s’apprêtait à écrire sur son carnet de laboratoire « expérience manquée » quand l’oiseau se mit à sauter de toutes parts dans sa cage en sifflant. L’expérimentateur le laissa revenir auprès des boîtes. Il se précipita vers la boîte 5 et piqua le grain qu’il avait oublié. Ensuite il  entra tranquillement, et satisfait, dans sa cage.

L’oiseau pense, se souvient, et juge ses actes… qui peuvent le perturber sur le plan émotionnel.

Dans un autre registre, que dire du terrier Rolf qui passait son temps sous la table des gamines où elles étudiaient le calcul. Un jour  les deux fillettes « séchaient » lamentablement. Rolf répondit à leur place en frappant avec sa patte sur la table… Il est devenu célèbre !

Il est aisé de voir ce brave chien se mettre les deux pattes sur la tête en écoutant les réponses des gamines. Aussi, pris de charité, il chercha à les aider, ce qui est de l’ordre de l’affectif…

Évidemment, les numéros de cirque ne font plus recette car neuf fois sur dix ils sont truqués et, de ce fait, la performance reste des plus banale.

Pourtant en certaines occasions, les investigations les plus soupçonneuses n’ont pu faire la preuve d’un trucage et dès lors on peut envisager une réelle pensée de l’animal, même chez les animaux les plus féroces qui le sont fort probablement pour de bonnes raisons car bien souvent l’espèce humaine est une mauvaise fréquentation... Les animaux ne torturent pas ne font pas la guerre et ne cachent pas de lingots d’or dans leur nid ou terrier.

Un des cas les plus énigmatiques, le plus célèbre de tous, est celui des chevaux d’Elberfeld, en Allemagne.

 

Au début du XXe siècle, un amateur de chevaux nommé Wilhem von Osten dressait des animaux de façon particulièrement raffinée, et, entre autres prouesses, il tenta de leur apprendre à compter. En très peu de temps, l’étalon Hans se révéla capable de le faire. Il tapait les dizaines du sabot droit et les unités du gauche. Hans indiquait ainsi le nombre qu’on lui présentait.

On lui apprit à lire par ce procédé. Il tapait du pied selon un code très simple utilisé par les « voyants » numérologues : 1 = A, 2 = B, 3 = C, etc.

Après avoir assimilé les chiffres, le cheval apprit le calcul. Son maître écrivait sur le tableau 35+15 et Hans tapait 50. Certains criaient au miracle et d’autres clamaient leurs réticences. Le remue- ménage fut tel que l’empereur lui-même s’intéressa à la question et, sur son ordre, une commission de professeurs vint étudier les exploits de ce cheval merveilleux.

Vous vous doutez, chères lectrices et chers lecteurs, que nos barbes académiques furent sommés de trouver quelque chose même s’ils ne trouvaient rien !  Cette commission de savants, fort attachés à leur chaire, remirent un rapport formel (dont il fut impossible d’obtenir une copie) : Le cheval agissait non pas en calculant, mais en se guidant sur des signes imperceptibles pour l’homme (c’est à se demander comment nos éminences grises bien humaines ont pu desceller des signes indécelables pour l’homme ! )

Nos universitaires patentés utilisèrent donc le procédé qui va faire de plus en plus fureur quand ils se trouveront face à l’inexplicable : affirmer péremptoirement comme vraies des idées préconçues… et croyez-moi, ça dure encore. J’ai pu entendre à la fac de Montpellier un professeur affirmer la même chose (sur ce même problème des chevaux calculateurs) que ses collègues allemands… un siècle plus tôt ! Ben oui on se serre les coudes et l’on devient traditionaliste dans les Académies. Courage, le couple franco-allemand se porte bien.

Quoi qu’il en soit, l’histoire des animaux calculateurs reste un sujet qui hérisse les cheveux des chauves de la Sorbonne. C’est un sujet qu’il faut écarter car il sent le soufre ou est cousin du poil à gratter. Ainsi, le grand zoologiste Hediger inventeur de l’éthologie (science du comportement animal) parle de :

« La légende imbécile des chiens et des chevaux qui s’expriment en frappant des coups ».

Cette opinion me donne une envie féroce de frapper des coups... Et à vous ?

Après cet exposé des savantasses éclairé, Von Osten fut écœuré par cette analyse de mauvaise foi. Découragé, il vendit son cheval à l’un de ses admirateurs un certain Krall, bijoutier de son état et, par ailleurs, fort riche. Celui-ci convaincu de l’inanité du rapport scientifique entrepris de poursuivre l’éducation du cheval et d’éduquer de la même façon deux autres chevaux : Muhamed et Zarif.

Krall s’ataqua à la réhabilitation des expériences de von Osten. Entre autre, il refit dans l’obscurité la plus absolue les essais les plus spectaculaires. Hans et ses deux condisciples, après avoir vu l’énoncé du problème, n’avaient aucune difficulté à la résoudre malgré les ténèbres.

Les deux nouveaux prodiges faisaient des progrès foudroyants ; deux heures de leçons par jour, au maximum, leur permirent d’exécuter en moins de deux semaines des additions et des soustractions. Quelques jours plus tard, ils abordaient les multiplications et les divisions. Après quatre mois d’instruction, ces élèves modèles s’attaquent aux racines carrées et apprenaient parallèlement l’alphabet !

La nouvelle des nouveaux succès des chevaux d’Elberfeld (ils devinrent célèbres sous le nom de la ville ou habitait leur maître) fit cette fois le tour de l’Erope et donna lieu à de très vives controverses.

Krall adjoint alors au trio un quatruème compère nommé Hänschen qui se révéla très rapidement aussi doué que ses prédécesseurs.

Il convient de dire qu’actuellement les prof d’universété se satisfons de lire les publications de leur collègues et certains n’ont pratiquement pas vu un cheval de leur vie. A l’actif de cette époque ou les chevaux de Krall contaient il convient de retenir ceci : d’estimables savants et professeurs d’université ne craignaient pas de faire le voyagé (avec l’inconfort de cette époque) pour s’informer sur place.

Dans leur esprit, il ne pouvait pas s’agir d’une faculté réelle de calculer. Pourtant, ils furent nombreux à ne pas vouloir rejeter le phénomène avant de l’avoir vu.

Cela pour dire qu’il n’est pas du tout certain qu’une telle attitude d’esprit soit possible de nos jours ; de nos jours les spécialistes « rationalistes » néocartésiens  interrogés, sans avoir vu le phénomène, aurait d’abord crié à la supercherie… en se trompant, évidemment. Mais ce n’est pas important de se tromper, l’essentiel est d’affirmer qu’un cheval est incapable de compter.

Parmi les enquêteurs plus ou moins sceptiques, mais généralement sincère, on remarquait un illustre psychologue suisse : Claparède.

Il réalisa des études sérieuses en déduira qu’il est très probable que les animaux captaient des signes involontairement fournis par les assistant comme les réactions émotionnelles.  L’interrogation subsistait, quels signes émotionnels le cheval captait ?

C’est ainsi que les professeurs Mackensie et Assagioli obtinrent l’autorisation de faire travailler le plus jeune des chevaux, Hänschen, sans la présence de Krall et des palefreniers.

Les deux professeurs écrivaient les problèmes sur un tableau noir et obtenaient des réponses  correctes dans un pourcentage de cas très satisfaisant. Ce n’étair donc pas l’attitude du maître qui dictait les réponses.

Ensuite, ils isolaient le cheval dans une pièce et, après avoir inscrit le problème à résoudre, ils quittaient la pièce. L’observation s’éffectuait par n judas, et pourtant les réponses contnuaient à étionner les observateurs.  Ils n’étaient pas à l’origine des signaux iperseptibles pour donner la réponse au cheval.

Un allemand, le professeur Hartkopf voulu éviter que le cheval puisse glaner une Information en observant l’expérmentateur à travers le judas. Les questions furent préparées par des tiers, et Hartkopf ouvrait l’enveloppe contenant la question juste avant de l’écrire et donc sans connaître  réponse lui-même et de ce fait il ne pouvait aider le cheval inconsciemment. Il laissait l cheval répondre et ensuite seulement il ouvrait l’enveloppe contenant la réponse correcte.

La réponse du cheval ne mettait que quelques secondes à venir, et ce laps e temps ne permettait pas à Hartkopf, qui n’était pas lui-même un calculateur prodige, d’effectuer l’opération. Car les questions posées à l’animal étaient loin d’être simple : on demandait par exemple la solution de la racine troisième de 29 791 ou de 103 823. Par la suite, les expérimentateurs poussèrent l’animal jusqu’à la racine quatrième d’un nombre de six chiffres, et quand on apprend que la racine de 456 776 fut donnée avec exactitude en dix secondes approximativement, on conçoit a quel point l’hypothèse des stimulus par des signes inconscient de l’auditoire devient improbable.

Ne voulant pas reconnaître une telle capacité du cheval, nos universités enseignent encore les conclusions de Claparède…

Depuis le début de cet article, vous devez vous demander quels rapports peut-il y avoir entre ce que je vous raconte et la phonétique ou cabale ?

Le prix Nobel Maeterlinck, si passionné par les mystères de la vie animale, rendit visite aux chevaux e Krall. Le poète resta seul en compagnie du cheval Muhamed et lui posa des problèmes dont il reçu immédiatement la réponse.

Très impressionné il le fut encore plus lorsque Krall présenta Maeterlinck au cheval en répétant à plusieurs reprises son nom. Il lui demanda ensuite de l’écrire et le cheval traduisit en langage cabalistique : MAZRLK.

Alors, si vous rencontrez un cheval dans son pâturage faîte attention à ce que vous dites, les prés on des oreilles.

Avec toute mon amitié.

 

Je vous informe qu’au mois de février, je n’écrirais que très peu d’articles et serait absent de FB.

 

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12 janvier 2013 6 12 /01 /janvier /2013 17:19

pierre cubique a point

Quand on est un fieffé bavard, mais vigoureux comme un jeune taureau au point d’avoir un pénis à la place de la plume, et que l’on parles d’alchimie sans rien comprendre, alors on ramène cette gente dame à la position horizontale avec ses moult maîtresses. Ainsi le tour est joué, l’alchimie n’est qu’une sombre histoire de fesses.

Ce genre « d’étalonnage » suspect se trouve chez deux catégories d’individus mais dont le dénominateur commun est d’avoir toujours raison.

Les premier sont des intello dont la notoriété n’est plus à faire mais dont l’alchimie représente une énigme non résolue qu’il veulent décrypter contre vents et marées. La solution est alors toute trouvée, elle se cache généralement au dessous de la ceinture. Comme les  humains sont enivrés par le parfum de la testostérone et celui plus onctueux de l’œstrogène, alors c’est la gloire dans l’auge des péchés mignons puisque la libido fait recette. C’est ainsi que la vénérable barbe de Gaston Bachelard trempe avec délice dans l’auge libidineuse des cochonneries.

Tourmenté par un besoin irrépressible de transmette sa noble semence, l’alchimiste brûlant dans son feu secret cherche une issue possible à ses transactions. Son tourment hormonal lui incendie la tête comme un vin capiteux et lui fait confondre le col du ballon avec le col de l’utérus.

Voici donc ce que déclare sans vergogne l’honorable professeur, dans la plus grande sérénité d’esprit :

« Et voici la solitude qui devient mauvaise conseillère. Une solitude aussi opiniâtre que celle du veilleur de fourneaux alchimiques se défend mal des tentations sexuelles. Par certains côtés, on pourrait dire que l’alchimie est le vice secret. »

Et l’on comprend fort bien que l’alchimiste Eugène Canceliet se soit insurgé, dans son L’alchimie expliquée sur ses textes classiques (1972), face à une pareille interprétation tendancieuse au point de tronquer les textes de Limojon de Saint-Didier (dont Bachelard avoue ne pas connaître l’auteur !) pour lui faire dire ce qu’il n’as pas dit tout en l’adaptant à ses idées préconçues accréditant (et prouvant !) ainsi des saloperies dites « alchimiques » qui n’existent pas.  

Un feu hormonal devait embraser ses circonvolutions cérébrales en lui faisant proférer, dans un triomphalisme marxo freudien des époques révolues, de véritables injures à l’adresse de l’art sacerdotal. C’est pourquoi Eugène Canceliet juge, à juste titre, le texte de ce psychanalyste Freudien comme un exposé, à  la plus inattendue et effarante conclusion :

« Un psychanalyste reconnaîtra facilement l’onanisme »

 

Les deuxièmes catégories d’individus sont aussi des intello psychologisants mais dont la notoriété reste à faire tout en étant les défenseurs d’idéologie à forte odeur d’ésotérisme tendancieux qui caractérise les arrières boutiques de sociétés discrètes.

Ainsi trouvons-nous chez ce genre d’auteur des titres tel qu’alchimie et érotisme. Et l’auteur de s’interroger : « Et si le sacré des alchimistes c’était l’érotisme ? »

Foutre voilà que je n’avais pas compris le sens caché du ciel de lit ! C’est du Rabelais de mauvais alois…

C’est ainsi que j’ai appris que les métaux avaient une « mythologie sexologique ». Même le fer s’envoie en l’air! Écoutez donc ça :

« Les métaux, qui, mythologiquement sont des dieux, couchent ensemble, se torturent, se marient, se font jouir » (Les maîtres de l’occultisme de André Nataf, p 12 éditions Bordas)

Nous atteignons les cimes de l’absurde quand notre auteur déclare sans sourciller :

« Au cours d l’œuvre au rouge, la circulation orgasmique est établie. Le courant passe dans les amans embrassés et leur fait découvrir l’univers. » (idem supra)

Voilà à quoi sont réduites les techniques d’éveil autant que celle au laboratoire. Nul doute qu’il y a la une recherche de réduction à la  matérialisation de la voie initiatique occidentale qu’est l’alchimie. Nous assistons au rejet de la spiritualité par désacralisation en la remplaçant par des systèmes psychiques pratiquement mécaniques. En procédant par analogies plus ou  moins psychologisantes c’est ramener à sa dimension automatique ce qui est le plus précieux dans l’humanité : celle de l’approche émerveillée de deux êtres qui s’aiment et qui vont s’entraider pour parvenir aux cimes de la connaissance et de la spiritualité. C’est une vue de l’esprit direz-vous, vous qui sortez d’un divorce… En êtes-vous si sur ?

Avec toute mon amitié.

À William

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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 18:21

DRUIDE-PANORAMIX.jpg

Le jour de Noël 1642 l’humanité reçut un cadeau sous la forme d’un petit, tout petit, enfant né prématurément. C’était le fils unique d’un petit propriétaire complètement illettré. La probabilité pour que cet enfant vive longtemps était quasiment nulle car il était si petit que l’on aurait pu le mettre dans une cruche d’un litre. Et, pourtant il survit à la guerre, à la révolution, à la peste et à tout l’arsenal de la pharmacopée de l’époque. Vénéré par ses compatriotes, admiré dans le monde entier, il meurt à l’âge de 84 ans. Il est enterré à Westminter Abbey. Son nom, vous l’avez deviné, c’est  Isaac Newton.

L’image du monde que développa Newton est née presque entièrement de ses découvertes en mathématiques et en physique. Elle marqua de son emprise les générations futures.

Mais il faut constater avec étonnement que les études de Newton sur l’astronomie, l’optique et les mathématiques n’occupèrent qu’une fraction minime de son temps. En fait, ses talents s’exercèrent bien plus dans des voies comme l’histoire religieuse, la théologie et surtout l’alchimie.

Ces trois secteurs de la connaissance (histoire religieuse, théologie et alchimie) sont en réalité inséparables. L’alchimie est la face matérielle, concrète, de la théologie qui imprègne profondément l’histoire religieuse. Cette orientation du génial physicien est d’une grande cohérence, elle est à l’image de ses élégantes démonstrations scientifiques, et vont, en toute logique, représenter l’essentiel de son activité, son épicentre.

Évidemment, cela ne satisfait pas, l’univers « réaliste » de nos sciences rationalistes… laissons braire les ongulés académiciens assujettis à leur picotin et qui ne peuvent souffrir une éventuelle dimension non matérielle et spirituelle de l’homme et de toute matière. Ces académiciens bourgmestres de la pensée scientifique affirment péremptoirement l’incompatibilité et l’incohérence de cette union, définitivement jugée scandaleue et contre nature, entre science sacerdotale et science académique.

Que peut-on dire à ceux qui ne veulent rien entendre si ce n’est qu’ils poursuivent la contemplation de leur vieille lune !

Dans ce domaine les plus grandes lumières éteintes rayonnent leur obscurantisme dans notre misérable hexagone. Ce genre d’attitude se trouve aussi, d’une manière plus perverse, dans le cabinet feutré de certains milliardaires dont la griffe empoisonnée et mortelle supplante tous les pouvoirs, y compris Européens, et impose la culture et le culte du profit.

Revenons à Newton. Je rappelle que la partie proprement scientifique (au sens étroit où l’on entend ce terme aujourd’hui) ne représente en fait que 28% de son œuvre manuscrite. Les 72 % restants se trouvent consacrés pour un tiers à l’alchimie et deux tiers à la théologie, cela pour les seuls manuscrits CONSERVES,  sans préjuger de ce qui a pu disparaître au fil des années. Newton refusa toute sa vie de publier quelques pages concernant ses recherches alchimiques. Il est donc heureux qu’un certain nombre de ses notes personnelles nous soient parvenues, permettant ainsi d’avoir une idée exacte du sens profond de ses recherches.

La recherche scientifique matérialiste du XIXe siècle s’appuya sur les découverts de Newton pour justifier ses travaux. Cette attitude pitoyablement ségrégationniste, excluait donc de son univers les raisons profondes de cet attachement à l’alchimie de l’intelligence de cet immense génie. On n’osa ni ne put publier des textes sur l’obscurantisme de Newton sans prendre le risque de se tirer une balle dans le pied !

Soyons logique jusqu’au bout : Croyez-vous qu’un être aussi exceptionnellement lucide et intelligent ait pu avoir un hiatus dans sa méthode au  point de donner à l’alchimie (cette pratique supposée idiote) une place aussi capitale dans sa vie ?

Peut-on supposer un seul instant que Newton œuvra toute sa vie au laboratoire alchimique pour satisfaire une sorte de puérilité infantile issue de quelque relent de magie atavique ? Ne serait-il pas plus logique de supposer qu’à travers cette recherche de la pierre philosophale notre physicien était sur la piste des véritables fondements énergétiques du monde sur lesquels reposent tous passages d’un état en un autre, toutes métamorphoses ? Ne pourrions-nous pas songer un instant que c’est à ce même problème qu’est confrontée actuellement notre physique quantique qu’un pareil génie, l’un des plus grands de l’humanité, était susceptible de concevoir ? Ne pourrait-on supposer un bref instant que l’univers des manipulations alchimiques ait pu révéler à Newton la relativité spatio-temporelle ? Cette connaissance seule explique sa réticence à publier les révolutionnaires «Principes mathématiques de philosophie naturelle », dont il avait perdu les papiers ! et qu’il reconstitua et publia, à la demande pressante de l’astronome Edmun Halley, publication qui s’avère être l’une des sommes les plus magistrales jamais éditées dans le domaine scientifique ! Si pour Newton un pareil écrit a une importance telle qu’il l’oublie dans un fond de tiroir et l’égare définitivement, il devient légitime de supposer que d’autres découvertes se révélaient bien plus intéressantes à ses yeux…

Oui, il est absolument certain qu’Isaac Newton poussa très loin ses travaux alchimiques, et que ceux-ci furent partiellement couronnés de succès.

Pourquoi le rejet de l’alchimie, pourquoi ne pas accepter cette évidence criante qu’elles sont inséparables des découvertes de Newton ? La raison en est évidente : les concepts alchimiques qui guidait ses expériences et observations ont été si totalement exclus de la théorie et de la pratique chimique, que personne aujourd’hui ne concevrait d’entreprendre une expérience de ce type. En bref on est amené à exclure le fait car on a bazardé la théorie.

Isaac Newton fut alchimiste à part entière et lui restitue ses lettres de noblesse, celles qui furent longtemps maculées par des scribouillards désargentés. Il a fait éclater les barrières d’une recherche enserrée dans des garde-fous, les coupant de ses fondements véritables, en démontrant que l’intuition peut efficacement venir au secours de la raison, surtout quand il s’agit d’étudier les problèmes posés par les mystères du monde. Ainsi put-il intégrer les sciences physiques et mécaniques à la pensée et à la recherche alchimique.

La science actuelle souffre de ne point pouvoir (pour des raisons idéologiques) et savoir opérer une synthèse entre la recherche scientifique et les préceptes anciens.

Soyez sûr d’une chose ; il n’y a pas réellement une scission entre les réalités de la science et les vérités dont l’alchimie peut témoigner. Que faire devant une mauvaise foi qui fait dire qu’un picotin d’avoine à un goût différent alors que l’on broute au même râtelier ?

J’arrête là mes coups de cornes car je me sens devenir chèvre ! ! !

Avec toute mon amitié.

 

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2 janvier 2013 3 02 /01 /janvier /2013 19:08

 

Cet article est un complément du texte sur la croix cyclique d’Hendaye :

  L’ENIGME DES « AA » DES « AAA » ET DES « AAAA » - 4 -

Serpent+terre=MP

U

n livre des morts est à la fois un rituel, un recueil de mantras (ou paroles efficaces à dire auprès  du défunt) et un fil conducteur permettant à celui-ci de se diriger dans les premières zones que sa conscience (lui-même) rencontre après sa mort biologique. Il lui permet de discerner les entités favorables ou hostiles (fruits de son imagination, mais aussi présence d’êtres élémentaires) qu’il rencontre dans sa reprise de conscience Postmortem. Les plus connus de ces guides vers l’au-delà sont le Bardo thodol Tibétain,  le Livre des morts égyptien, et le Livre des morts des Mayas.

Notre civilisation occidentale est la seule à ne pas disposer d’un ouvrage de ce genre, toutes les vérités traditionnelles ayant été occultées au même titre que les mystères chrétiens depuis Constantin et Théodose. Aussi, autant les Catholiques que les Orthodoxes et les Protestants sont démunis, d’où le désarroi de nos contemporains quand se produit le passage, la sortie de l’être du corps biologique. Les défunts, dans un univers nouveau pour eux, se sentent démunis, paniqués, croyant au début qu’ils ne sont pas morts puisqu’ils se sentent plus vivants que jamais.

Si dans l’Église existe tout un rituel allant de la messe des défunts à l’absoute (aspersion d’eau bénite et encensement du cercueil), ce ne sont là que rites qui laissent le défunt démuni et ne le rassure pas. Le mort est d’autant plus profondément paniqué  qu’actuellement le prêtre, dont l’onction sacerdotale a un rayonnement (par sa réception de l’Esprit saint le jour de son ordination) sur le monde des défunts, n’accompagne plus le cortège funèbre et ne dispense plus la bénédiction finale. Actuellement et depuis le concile de Vatican II, l’ordination des prêtres et des évêques laisse à désirer. Ils ne reçoivent plus l’Esprit durant leur ordination abusivement transformée et devenue insignifiante sur le plan mystique. Je dis cela car maintenant c’est un diacre dit « permanent » (donc, en réalité un faux diacre car mal ordonné), voire un laïque qui accompagne maladroitement les défunts. Certes, ils ont l’art de consoler les vivants. Mais en ce moment crucial ce sont des morts qu’il s’agit ! Les morts ? Qu’à cela ne tienne, il faut faire son deuil et les oublier : « laisser les morts avec les morts » car la vie continue. Certes, cela est vrai, mais il faut d’abord accompagner l’être dans son passage dans l’autre monde au-delà du réel, de notre réel étriqué. La métamorphose n’est pas facile car c’est un changement radical de monde, de lieu de vie.

Actuellement les morts sont donc laissés dans leurs désarrois avec une messe des défunts dont il reste quelque bribe de ce que fut cet accompagnement.

Cette particularité fut mise en évidence par l’alchimiste Fulcanelli lorsqu’il décrit, en son Mystère des Cathédrales, la croix cyclique d’Hendaye.

Cette croix se trouvait dans un cimetière et, de ce fait, l’inscription se rapporte autant aux défunts qu’aux fins dernières de l’humanité.

Sur la branche horizontale, on peut lire :

O crux ave spes unica.

Cette phrase latine signifie : « Salut ô Croix, unique espérance. ». C’est une des rares expressions ou la croix n’est pas considérée comme un instrument de supplice, ce qui lui donne un sens universel. C’est donc pour cela que fut instaurée une fête de la croix en relation directe avec sa signification céleste. Le jour choisi fut le 14 septembre, c'est-à-dire sept jours avant l’équinoxe d’automne.

À cet équinoxe est également associée la fête de St Michel Archange, le 29 septembre soit sept jours après l’équinoxe d’automne. Le chef des armées célestes est représenté avec la balance du jugement dernier, car après leur mort biologique, il guide les êtres vers l’enfer ou le paradis. Ici la balance est aussi en rapport avec le signe astrologique de la Balance dans lequel le soleil entre à l’équinoxe d’automne. C’est le moment ou la nature « meurt » et donne ses fruits. Tout comme après la mort l’Homme récolte les fruits de ses actes.

Le rapport avec les fins dernières est ici évident : l’humanité est séparée en deux immenses parties. Dans l’une sont regroupés ceux qui ont compris et dans l’autre ceux qui n’ont rien compris. En d’autres termes ceux qui ont compris ont essayé d’avoir une vie en accord avec la bonté, la paix et la bienveillance. Ceux qui n’ont rien compris ne peuvent que faire des bêtises… C’est ce que le Christ appelle les bons et les mauvais, les bons poursuivent leur évolution, les mauvais redoublent jusqu’à finir par comprendre. Et ce redoublement n’est autre que la poursuite des réincarnations jusqu’à ce que la lumière soit dans une conscience à la dérive. Vous pouvez ne pas accréditer ce que je vous raconte car il n’existe aucune preuve. Alors pardonnez-moi, chères lectrices et chers lecteurs, de ne point avoir usé du conditionnel…

La ligne qui joint les deux équinoxes est mise en évidence par le  14 septembre fête de la « sainte croix ». Quant à l’équinoxe du printemps, diamétralement opposé sur le zodiaque, il correspond à la fête de Pâques qui est inséparable de la première pleine Lune après l’équinoxe de printemps.

Pâques, ou équinoxe de printemps, est la crucifixion comme l’indique la croix qui est plantée en face, sur le plan de l’écliptique, ou équinoxe d’automne.

Mais Pâques, c’est surtout la résurrection dont le Christ nous montre la route car il disait que tout homme est capable de réaliser les mêmes choses que lui… devenir un dieu et non Dieu ! comme le montre sans ambiguïté le Psaume 82 en son premier verset :

« Dieu se tient dans l’assemblée du tout-puissant et au milieu des dieux, il rend son arrêt. »

C’est là un reliquat de bibles expurgées depuis les coupes sombres accomplies par saint Jérôme qui fut alors copieusement critiqués pars les chrétiens du monde entier outré qui ne dissimulaient pas leur fureur. En d’autres termes St Jérôme a passé un sale quart d’heure car la levée de boucliers était universelle. Notre saint désorienté n’avait aucun argument sérieux pour justifier son œuvre de destruction. Il se contentait de dire, pour se défendre, la même chose que les criminels Nazis de la dernière guerre : « J’ai suivi les ordres de mon supérieur » ou le pape Damase. C’est pourquoi de vieilles bibles, comme la Biblia Sacra de 1580 (que j’ai sous les yeux) tout en se disant une édition de la Vulgate de Jérôme, a conservé clandestinement des livres en plus dans Esdra, Isaie, etc.

Revenons à notre croix : Sur la face de son piédestal est gravée une croix dans un cercle dont chaque cadrant renferme la lettre A, Il est évident que le A correspond à la lettre grecque alpha et le cercle à O c’est-à-dire à l’oméga en directe relation avec la parole du Christ : 

« Je suis l’Alpha et l’oméga », ce qui signifie : « Je suis le début et la fin ».

En d’autres termes nos quatre A (alpha) dans un seul O (oméga) signale que tous les alphas sont contenus dans la seule fin ou l’oméga.

Hendaye 4ages

Alchimiquement parlant l’Air (A) est le plus important des quatre éléments (4 quartiers) pour constituer l’œuf (O). C’est pourquoi un A est placé dans chacun des quartiers qui constituent l’œuf ou pierre philosophale. En termes plus simples la pierre philosophale est bourrée d’air. Vous me rétorquerez que vous étiez à cent lieues d’imaginer que le mystère de l’alchimie est celui d’un ballon de baudruche, et vous auriez raison de vous gausser… Ne restons donc pas aux premiers degrés de l’interprétation. Il s’agit, bien évidemment, d’une énergie aérienne, que les alchimistes appellent « onde » et qu’ils symbolisent souvent par un ruisseau ou une source… Le sens du signe zodiacal du Verseau doit être ainsi compris pour saisir la portée profonde de l’ère du Verseau. Comprenez-vous pourquoi les astrologues devraient être alchimistes, comme l’était Nostradamus, pour saisir le vocabulaire des étoiles et planètes. Dans le cas contraire tout devient spéculation. Certes les interprétations astrologiques ne sont pas dénuées de logique. Mais cette logique aussi séduisante soit-elle à quoi peut-elle corresponde si son édifice a des pieds d’argile ?

Donc, l’onde du Verseau ou verseur d’eau, si je puis m’exprimer ainsi, doit être accumulée dans la pierre pour lui donner ses caractéristiques exceptionnelles. Et cette particularité est véhiculée par la lumière qui traverse l’AIR.

Le hiéroglyphe de la lumière est symbolisé par la lettre X.

 Comme le dit fort bien Fulcanelli au tome 1 de ses demeures Philosophales :

« La croix de st André, qui a la forme de notre X français, est l’hiéroglyphe, réduit à sa plus simple expression, des radiations lumineuses et divergentes émanées d’un foyer unique. » p 342, édition 1964.

Donc le X situé au sommet de la croix cyclique d’Hendaye n’est autre que la lumière céleste porteuse de cette énergie cosmique.

Le X est aussi le signe du creuset :

« Chez les Grecs et leur successeur du Moyen Âge, le creuset de fusion que les potiers marquaient toujours d’une petite croix (crucubulum), indice de bonne fabrication et de solidité éprouvée. Mais les Grecs se servaient aussi d’un signe semblable pour désigner un matras de terre. » Idem supra p 349.

En d’autres termes, le X qui est au sommet de la croix est celui d’où rayonne la lumière tandis que celui qui est dans le mot latin crux qui est situé au centre de la croix n’est autre que le creuset salvateur. 

En d’autres termes, l’énergie céleste, du X sommital est  véhiculée par la lumière céleste pour être reçue par le creuset de la croix (X central du mot crux).

Le quadrat dans lequel sont enfermés les A est  cabalistiquement « quatre-a… » ou « quadra ». En choisissant la désinence en fonction de la lune qui est sur le piédestal, on obtient : « quadrature »

La quadrature correspond aux quartiers de la lune comme la lune décroissante gravée sur le piédestal.

Les quatre A désignent donc les quatre quartiers de la lune.  

La Lune représentée sur une face du socle n’a pas d’étoiles autour d’elle comme le soleil représenté sur la face Ouest. En d’autres termes, ce n’est pas de la Lune du ciel qu’il est question ici mais d’une lune symbolique décroissante.

Signe discret rappelant que l’individu doit diminuer (comme le croissant est en train de le faire) s’il veut croître ou grandir…

Son  croissant en diminution précède la nouvelle lune ou Lune qui va « disparaître » (Lune noire).  Sa place est donc chez nos chers « disparus », ou plus exactement chez ceux QUI VONT DISPARAÎTRE, mais qui sont encore là même si leur récent substrat biologique dévitalisé, que l’on appelle cadavre, est au cimetière. L’œil bien évident montre que nos futurs disparus nous voient de leur monde… sublunaire ! Comprenez-vous pourquoi l’autopsie fut longtemps interdite par l’Église ?

Hendaye lune

La Lune est pourvue d’un œil droit important, disproportionné, représenté naïvement comme dans un dessin d’enfant, ce qui confirme le fait de cette nécessité à devenir comme un enfant pour progresser. Cela peut paraître tiré par les cheveux si nous ignorons le lien avec la diminution du croissant lunaire qui est affublé de cet œil enfantin, caricatural. Non n’allez pas spéculer sur l’Houdja égyptien ou œil d’Horus… restons chez nous sous peine de mélanger nos pinceaux !

N’oublions pas le plus simple et donc l’essentiel : l’œil ne voit que s’il y a de la lumière

 

Chère lectrices et chers lecteurs, recevez la lumière de mon amitié en cette année naissante.






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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 16:49

OEIL DE L'ANGE-JPG

Sur le petit phare de Sète qui signale l’entrée du port est gravée une phrase d’un célèbre fils de la ville Paul Valéry : « La mer, la mer toujours recommencée. »

En imitant ce vers du cimetière Marin (1920),  J’ai choisi d’intituler cet article : « La vie, la mort toujours recommencée » alors qu’il est plus juste et harmonieux de dire « la mort, la mort toujours recommencée. » Évidemment, les deux sont toujours recommencées puisque l’une puise son énergie dans l’autre. Je ne vais pas chipoter : c’est de la camarde que je vais vous parler. Ce n’est pas une amie personnelle, mais ça viendra… Non je ne déprime pas, non je ne suis pas suicidaire. J’ai le défaut d’aborder les choses qui gênent et dont on préfère éviter de parler alors qu’elles sont si riches d’enseignements ben voyons avouez, mes amis, que pour vous, misérable mortel, c’est: « la peur, la peur toujours recommencée ! ». Je me réjouis de vous sentir trembler dans vos bottes alors que mon tremblement est celui d’un rire incoercible. Peut-être sui-je sado à mes moments perdus ?

La mort cellulaire est pourvue d’un nom technique qui évite d’apeurer ceux qui défilent chez leur bon docteur, c’est « l’apoptose » qu’il ne faut pas confondre avec « le pop » d’un bouchon de champagne ou avec l’apothéose, même si s’en est une…

Si j’ai dit un jour que la cellule est immortelle, évidemment elle n’est pas à l’abri d’un accident ou d’un message suicidaire envoyé par un gène spécifique. Et si nous mourrons c’est que notre fin biologique est programmée et nos cellules sont progressivement « assassinées »… nous nous transformant tout doucement en pépé et mémé. Comme disait l’humoriste  Fernand Reynaud : « Tout ça c’est étudié pour ! ».

 

Point de discours technique ici mais un retour vers le carrée mosaïque des Francs Maçons ou l’échiquier avec ses dalles blanches et noires. Vous avez compris que l’alternance des cases noires et blanches correspond au passage de la vie à la mort puis de la mort à la vie. Curieusement les Francs Maçons n’en parlent pas beaucoup alors que c’est là l’essentiel. Mais mon vieux bouquin de Jules Boucher (La symbolique maçonnique, 3e édition de 1948) vénérable sexagénaire en décrépitude me parle de ce pavé avec moult contorsions si familières aux Francs Maçons cherchant désespérément à saisir l’Esprit de leur fraternité.

Il est question du lien entre lumière et ténèbre, si l’on traverse le damier en suivant une colonne et donc en passant alternativement du noir au blanc. C’est un chemin de la largeur des cases comparables à la figure populus des géomanciens, ou voie du peuple.

Notre érudit Jules Boucher, nous parles aussi de cette voie de l’initié qui passe sur le trait qui sépare les colonnes. Il appelle cette ligne droite la voie de l’initié. Mais écoutez donc ce discours sur cette voie de l’initié :

« Il ne doit pas rejeter la morale ordinaire, mais s’élever au-dessus d’elle. Il faut se garder de tout ce qui se rapporte à l’éthique. » (p. 149-150.)

Donc, chers frères, soyez au-dessus du panier ! comment ? Gardez-vous de l’éthique… Donc, méfions-nous de la morale, alors que votre morale doit être sans tache ! Soyons réaliste, c’est du baratin, car si se méfier de l’éthique reste vrai, l’essentiel est de donner la manière d’y parvenir, et c’est là que les francs-Maçons sont en faillite et qu’ils ont perdu leur appellation de société initiatique car ils ne donnent rien, débrouille-toi tout seul mon coco, pond quelques planches (laïus) et règle ta cotisation. Tout cela est en opposition avec les mères et pères fondateurs et vides le rituel de sa substantifique moelle.

Passer entre les colonnes n’a aucun sens, nous sommes obligés de suivre une colonne de carreaux blancs et noirs. Le « fil du rasoir » entre les colonnes ou voie de l’initié a un sens qui dépasse toutes spéculations. En d’autres termes il faut d’abord emprunter le chemin du profane qui fait passer d’une case blanche à une noire et inversement. C’est cela le chemin que nous ne pouvons éviter. C’est celui qui nous fait passe de notre vie biologique de la case noire à notre vie non biologique de la dalle blanche.

Oui le noir, c’est notre monde comme le dit fort bien le mot enfer ou in ferno (en soi), et j’ajoute ce qui me semble opportun de dire aussi in vivo (dans la vie). Donc l’enfer ce n’est pas uniquement les autres comme aimait à le dire Jean-Paul Sartre. Le jeu d’échec, d’échec à la mort évidemment, répond au titre de cet article : la vie (noir) la mort (blanc) toujours recommencée… Quand le roi est couché par « échec et mat », il ne fait que dormir pour recommencer une autre partie.

Sur le plan biologique, tout en étant immortels nous sommes programmés pour passer de vie à trépas. Cette apoptose généralisée varie assez peu dans le temps qui nous est impartie mais qui reste de l’ordre de quelques dizaines d’années. Je présume que vous avez froid dans le dos. Sinon c’est parfait, je puis continuer mon petit jeu morbide ! hi ! hi !

Si nous sommes immortels (sauf accident) que se passes-t-il donc pour nous éteindre généralement avant de devenir centenaire ?

Et bien dès la fin de notre adolescence, nous commençons tout doucement à mourir. Des tueurs à gages que l’on appelle « caspades » (CAD) attaquent notre organisme casse l’ADN et détruisent les structures cellulaire en l’empêchant de s’autoréparer. Ainsi sommes-nous affaiblis et altérés progressivement avec des rides et des affaissements tissulaires, adieu les fesses bien rebondies ! arrivent des fatigues et évidemment des maladies qui nous achèvent à l’état fripé comme de vieilles pommes reinettes. C’est rigolo tout ça, vous ne trouvez pas ? Enfin, je parle d’un rire jaune !

À la suite du passage vers la lumière, vers l‘Orient NON ETERNEL (les Francs Maçons parlent à mauvais escient d’Orient éternel, car dans l’Orient nous n’y restons pas éternellement), notre substrat non biologique traverse une dalle blanche pour retrouver un support biologique en parcourant, d’un côté à l’autre, une case noire… tel est le cycle des profanes mais que tous les Maçons se disant « initiés » suivent ! Alors la voie des initiés c’est une autre paire de manche et donc autre chose que des histoire de morale ou de spiritualité bon enfant ! Quand on dit, «je t’aime », c’est bien souvent (sauf très rares exceptions) pour spécifier que l’on s’aime soi-même, d’une manière très subtile, à travers l’autre. Car si ce terme était proféré autrement, au-delà de tous parasites mentaux et affectifs, alors nous serions un véritable initié ! Mais pas question ici d’être stupidement extrémiste. C’est très heureux de dire « je t’aime » même si cet amour est un peu « tordu » du moment que l’on tend la main, car cette main est précieuse, elle a une valeur infinie indépendamment de nos pensées, et nous fait grandir.

Les tueurs à gage (caspades ou CAD) sont poursuivis par des flics qui les arrêtent (ICAD), malheureusement, ces inhibiteurs des CAD deviennent ripoux et se transforment à leur tout en CAD ou tueurs à gage qui à leur tout cassent l’ADN… Vous voyez, nous ne sommes pas sorti de l’auberge !

Le programme d’auto-destruction de notre corps est retors et impitoyable. Il s’amplifie au cours du temps et nous réserve une canne pour marcher.

Parfois le processus s’emballe et les tueurs à gages sont une grande armée, d’où les vieillissement prématurés qui caractérise le syndrome de Verner. Dans ce cas un trentenaire est sexagénaire et meurt de vieillesse à 45 ans. Quant à la Progéria (vieillissement précoce ) elle fait mourir de vieillesse des enfants de 13 ans.

Vous demandez-vous pourquoi je vous raconte ces horreurs ?

Je vous ai dit tout ce qui précède pour faire remanquer que le processus inverse existe, que les démolisseurs sont parfois ralentis d’une manière naturelle, comme le montre Jeanne Calman décédée à 122 ans ou ce centenaire qui a parcouru 100 km à vélo le mois dernier pour fêter son 101e anniversaire…

En d’autres termes, le processus capable d’annihiler les destructeurs de cellules existent bel et bien mais nos scientifiques ne savent pas les activer (à ce propos, je suis dubitatif car nous ne connaissons pas les résultats obtenus par des laboratoires privés car il est impossible de mettre sur le marché — pour des raisons d’ordre démographiques et économiques — une substance qui double ou triple la durée de la vie).

Vous devez, vous douter où je désire en venir, c’est qu’il n’est pas utopique et absurde d’affirmer que la beauté humaine peut se conserver longtemps, très longtemps. Les explications qui précèdent  tout en n’étant pas exhaustives sur le plan physiologique n’en sont pas moins significatives et invitent à mettre de côté la raillerie, qui frise la bêtise, quand les alchimistes parlent d’élixir de longue vie.

Sur le plan purement biochimique, nous ne savons pas si un métal ou une molécule simple ne peut avoir un effet inhibiteur des caspades (CAD) en évitant autant l’apoptose que la prolifération cellulaire.

Je souhaite de tout cœur que les dames qui lisent cet article vivent un éternel printemps.

Avec toute mon amitié.

 

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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 11:25

 

bre10

Médaillon du plafond de l'église alchimique de Brénac dans l'Aude, à proximité de Rennes le Château.


L’étoile est, comme chacun le sait, un soleil. Il y en a des milliards dans notre seule galaxie qui constitue la voie lactée ou voie de Saint-Jacques que les pèlerins suivaient pour se rendre à Compostelle.

Les monuments mégalithiques sont souvent érigés en fonction des différentes positions du soleil comme Stonehenge en Angleterre.

Le soleil par son rayonnement lumineux et thermique modèle le paysage terrestre grâce aux érosions du sol, mais surtout il entretient la vie. Évidemment sans lumière et chaleur, il est impossible d’exister.

À ces flux lumineux et thermiques, s’ajoute le courant magnétique qui va d’un pôle à l’autre.

Ainsi, nous avons quatre pôles : deux géographiques et deux magnétiques. Ils ne se superposent pas. En d’autres termes, le pôle nord géographique n’est pas au même endroit que le pôle magnétique qui a la bougeotte puisqu’il était, en 2007, à 637 kilomètres du pôle Nord des cartes. Pour tromper l’ennemi, les bases militaires sont construites entre ces deux pôles… impossibles de les localiser ! Si vous utilisez une boussole, vous ne les trouverez pas !

Ajoutons à cela que le pole magnétique se déplace de 55km par an ! (6m/h), ce qui fait des militaires de vrai forains qui démontent leurs bases en fonction de la balade du pôle ! Il faut vraiment avoir du cran, ou être bien payé, pour faire ce travail de Sisyphe !

Et le bouquet final est que le champ magnétique s’est inversé à plusieurs reprises au cours des millions d’années… Sacré coup pour les militaires qui feraient mieux de s’installer sur l’équateur pour profiter du soleil et du farniente !

 Le monde vivant utilise le magnétisme terrestre comme les grands migrateurs tels les oiseaux ou les tortues de mer qui sont dotées d’une perception fine du champ magnétique. Les volatiles sont capables de rectifier leur cap grâce aux étoiles. Quant aux tortues, les courants marins et la température de l’eau sont leur repaire. Mémoire visuelle et mémoire musculaires sont adaptées à ces vastes périples. il en est peut-être de même pour tous les oiseaux migrateurs. Ces derniers auraient même une « vision » des champs magnétiques grâce à des molécules rétiniennes  qui donneraient un réseau de contraste « d’ombres et de lumières » se superposant à l’image perçue.

Cette dernière remarque permet de comprendre la vision particulière de certains hommes, car les molécules responsables de cette perception chez l’oiseau se trouvent chez tous les êtres vivants (Cytochromes et FAD=Flavine adénine dinucléotide) .

Et puis il nous reste surtout à apprendre à regarder ! Les alchimistes auront apprécié jusqu’où peut se lire le symbole du filet pour saisir… le monde ! Si le filet est tracé sur la galette des rois, pour fêter l’épiphanie, c’est qu’il caractérise les rois au-delà des observations au laboratoire de certaines structures minérales entrecroisées. Évidemment, le pavé mosaïque des francs-maçons ne peut être compris qu’en l’associant aux changements de perception que ne saurait induire une étude symbolico spirituelle mitonnée de moralisme.

Le magnétisme est associé au nord et donc à l’étoile polaire, vers laquelle tout alchimiste doit savoir s’orienter et saisir les puissances vitales qui en émanent et se mélangent aux émissions lunaires et solaires.

L’alchimiste est donc un « roi mage » qui se guide sur le chemin que trace l’étoile, mais pour cela il doit parvenir à déployer les ailes de sa perception que nulle analyse spéculative ou symbolique ne saurait lui faire acquérir mais à coup sûr enrayer.

La terre est traversée de courants magnétiques électriques et telluriques comme tout être vivant… chacun à son échelle évidemment. Chez l’homme les Chinois avaient traduit cela par les méridiens d’acuponcture en employant le même terme que celui des méridiens terrestres, ce qui montre combien les anciens avaient compris cette analogie structurant l’univers et plus particulièrement notre globe.

Si notre terre est vivante, sa partie interne est puissamment pétrie par l’activité minérale. Par son noyau métallique, composé essentiellement de Fer et de Nichel, elle forme son champ magnétique protecteur des agressions cosmiques pour la matière vivante. Elle est aussi traversée par des forces résultant d’une sorte de « fermentation » minérale à l’origine de courants de surface ou courants telluriques indépendants du champ magnétique. Ces courants achèvent le réseau du filet permettant de saisir les forces diverses en action autour de nous. Les dolmens et les menhirs semblent être disposés bien souvent en fonction des nœuds telluriques que nos ancêtres percevaient. L’alchimiste doit dons faire ce chemin ardu qui consiste à reconquérir ce que nos pères percevaient, afin d’accéder LES YEUX OUVERTS à la connaissance.

 

Bon courage ! Avec toute mon amitié.

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5 octobre 2012 5 05 /10 /octobre /2012 15:50

regule

Cette conférence prépare à la compréhension des symboles alchimiques disséminés sur les divers monuments et façades des anciens immeubles de la ville.

Comme exemple j’aborderais l’étude de la place de la Comédie car à l’occasion de la ballade il est difficile de s’y arrêter sans provoquer un attroupement de curieux goguenards et imbéciles.

J’aborderai ensuite une brève histoire de l’alchimie occidentale afin de reconnaître les étapes de l’Égypte hellénisée à l’occupation romaine et aux conquêtes arabes.

La spagyrie sera abondée afin d’en montrer toutes les dimensions thérapeutiques constituant bien souvent la pharmacopée des anciens médecins.

Un arbre généalogique permettra de situer les différents grands noms de la médecine.

Cet exposé, agrémentée d’une vidéoprojection d’une trentaine de photos  permettra de mieux saisir le symbolisme alchimique.

 

À la fin de la causerie, des questions pourront être posées par écrit, car mon audition déficiente ne me permet que des échanges verbaux avec une seule personne.

 

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